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Question | Answer |
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La vision est affectée dans la sclérose en plaques parce que le nerf optique est entièrement situé dans le système nerveux central et qu’il est myélinisé par des oligodendrocytes | VRAI |
L’information visuelle est envoyée à la fois aux aires corticales du lobe occipital et vers le tronc cérébral | VRAI |
Une lésion du noyau abducens de la partie droite du pont entraîne une déviation médiale de l’œil droit | VRAI |
La branche afférente du réflexe pupillaire emprunte le nerf optique | VRAI |
Le réflexe d’accommodation emprunte une voie qui passe par le cortex cérébral | VRAI |
Une lésion de la partie inférieure du bulbe rachidien n’aura pas d’impact sur le toucher discriminatif du visage | VRAI |
C’est l’activation de cellules ciliées distinctes de l’organe de Corti qui permet la détection de sons graves et de sons aigus | VRAI |
La coordination des yeux est assurée en partie par les cellules nerveuses qui transitent par le faisceau longitudinal médian | VRAI |
Les nerfs accessoires et hypoglosses sont des nerfs uniquement moteurs | VRAI |
Le nerf facial est un nerf mixte qui transmet de l’information sensorielle de la langue, du pharynx et de la peau près de l’oreille | VRAI |
C’est au niveau de l’organe de corti que s’effectue la transduction du signal sonore en influex nerveux | VRAI |
Le tegmentum est la partie dorsale du tronc cérébral et est composé principalement de structures et des voies sensorielles | VRAI |
C’est au niveau du tectum que transitent les voies nerveuses impliquées dans les mouvements coordonnés de la tête et des yeux | VRAI |
Les noyaux avec une action modulatrice de la formation réticulée sont respectivement l’aire ventrale tegmentale, le noyau pédoculopontin, le noyau du raphée et le locus ceruleus, aire médiale réticulaire | VRAI |
Les projections sérotoninergiques et noradrénergiques de la formation réticulée module la transmission de la douleur au niveau spinal | VRAI |
Le noyau pédonculopontin est un noyau qui sécrète de l’acétylcholine et qui a une action diffuse sur plusieurs régions de la base du cerveau et sur la moelle épinière | VRAI |
Le locus ceruleus projette de façon diffuse dans tout le système nerveux central et joue un rôle déterminant dans l’attention dirigée | VRAI |
Une personne est victime d’une hémorragie qui touche spécifiquement les segments supérieurs droits de la moelle épinière | VRAI |
Plusieurs noyaux du bulbe rachidien sont impliqués dans le contrôle de l’activité cardiovasculaire, respiratoire, des mouvements de la tête et de la déglutition | VRAI |
Le cortex cérébral a une influence modulatrice sur l’activité des centres nerveux du tronc cérébral | VRAI |
La voie spinothalamique, croise la ligne médiane du système nerveux directement au niveau de la moelle épinière | VRAI |
L’aqueduc cérébral est le petit canal contenant le liquide céphalorachidien qui relie le 3ième et le 4ième ventricule | VRAI |
Le nerf olfactif et le nerf optique se distinguent des autres nerfs crâniens du fait qu’on ne les retrouve que dans le système nerveux central | VRAI |
Une lésion du nerf trochléaire peut avoir un impact sur la capacité de déplacer l’œil vers le bas | VRAI |
Le réflexe consensuel, implique une voie nerveuse qui croise la ligne médiane | VRAI |
La voie nerveuse qui supporte le réflexe cornéen transite par deux nerfs crâniens | VRAI |
Le décodage d’un son dépend de l’emplacement des cellules ciliées activées par celui-ci sur la membrane basilaire | VRAI |
L’information auditive qui permet de reconnaître un son emprunte la voie nerveuse qui atteint le cortex cérébral | VRAI |
On peut observer une diminution de la salivation à la suite d’une lésion du nerf glossopharyngien | VRAI |
Les drogues agissant sur l’activité de l’aire tegmentale ventrale peuvent créer une dépendance | VRAI |
Une lésion du mésencéphale gauche occasionne une perte de sensibilité au chaud et au froid du côté droit | VRAI |
Les fonctions motrices du nerf vague peuvent être vérifiées en testant le réflexe nauséeux | VRAI |
Les projections spinales du locus ceruleus peuvent avoir un puissant effet inhibiteur sur la douleur | VRAI |
Les neurones du noyau du raphé qui projettent vers la moelle épinière on le pouvoir d’inhiber les influx nociceptifs qui proviennent de la périphérie | VRAI |
L’information olfactive est transmise en premier lieu vers les noyaux sensoriels du mésencéphale | FAUX |
L’activation des neurones moteurs du noyau parasympathique du nerf oculomoteur entraîne la dilatation de la pupille | FAUX |
Les noyaux moteurs du nerf vague sont situés au niveau du pont | FAUX |
Le réflexe nauséeux continue d’être fonctionnel à la suite d’une lésion du nerf glossopharyngien | FAUX |
L’information auditive relayée vers le corps genouillé médian est utilisée entre autres pour diriger les yeux et la tête vers la source sonore | FAUX |
À la suite d’une lésion du nerf occulomoteur, l’œil du côté ipsilatéral à la lésion se dirigera en haut et médialement | FAUX |
Les neurotransmetteurs libérés par les noyaux de la formation réticulée ont une action rapide sur leurs différentes cibles à travers le système nerveux central | FAUX |
Les neurotransmetteurs libérés par les noyaux de la formation réticulée ont une action rapide sur leurs différentes cibles à travers le système nerveux central | FAUX |
La seule région du cerveau qui produit la dopamine est la substance noire qui projette entre autre au striatum, une structure touchée dans la maladie de Parkinson | FAUX |
Les projection noradrénergiques du noyau du raphé projettent partout dans le système nerveux central et ont une influence déterminante sur l’humeur | FAUX |
La voie corticospinale croise au niveau de la face dorsale du bulbe rachidien | FAUX |
L’information proprioceptive émanant du membre supérieur est relayée via le noyau gracillis | FAUX |
La voie corticospinale converge vers le tronc cérébral via les pédoncules cérébraux à la hauteur du pont | FAUX |
Le contrôle parasympathique de l’œil s’effectue à partir d’un noyau situé dans le pont | FAUX |
Une lésion du nerf facial gauche entraine une paralysie uniquement des muscles gauche de la bouche | FAUX |
Le pont jour un rôle négligeable dans la transmission de l’information motrice du cortex au cervelet | FAUX |
Une lésion de la voie corticospinale dans la partie supérieure droite du mésencéphale altère les mouvements du côté droit du corps | FAUX |
Une personne subit un accident vasculaire cérébral dans le cortex cérébral.. La voie corticobulbaire qui projette vers le noyau moteur du nerf facial est affectée, donc on s’attend d’observer une incapacité à fermer les yeux et produire un sourire | FAUX |
Les noyaux du trijumeau sont confinés dans un espace restreint au niveau du pont | FAUX |
Une paralysie du nerf facial empêche la personne de complètement soulever la paupière du côté ipsilatéral de la lésion | FAUX |
Les sons de basse fréquence activent des cellules ciliées situées près de l’entrée de la cochlée | FAUX |
Le tectum se situe sur la partie ventrale du tronc cérébral | FAUX |
Le noyau pedonculopontin libère la sérotonine dans le système nerveux central | FAUX |
L’activité du locus ceruleus est prédominante pendant le sommeil | FAUX |
Une perte de proprioception du côté gauche du corps pourrait s’expliquer par l’atteinte spécifique de la voie lemniscale au niveau du mésencéphal gauche | FAUX |
On retrouve les pyramides sur la face dorsale du bulbe rachidien (medulla) | FAUX |
Les neurotransmetteurs libérés par les noyaux de la formation réticulée ont une action rapide sur leurs différentes cibles à travers le système nerveux central | FAUX |
Les projection noradrénergiques du noyau du raphé projettent partout dans le système nerveux central et ont une influence déterminante sur l’humeur | FAUX |
La voie corticospinale croise la ligne médiane au niveau de la face dorsale du bulbe rachidien | FAUX |
L’information proprioceptive émanant du membre supérieur est relayée vers le cerveau via le noyau gracillis | FAUX |
L’information nociceptive du membre supérieur est transmise vers le thalamus via des neurones situés dans le noyau cunéatus | FAUX |
Une lésion du nerf facial gauche entraine une paralysie uniquement des muscles gauche de la bouche | FAUX |
Une lésion de la voie corticospinale dans la partie supérieure droite du mésencéphale altère les mouvements du côté droit du corps | FAUX |
Une personne subit un accident vasculaire cérébral dans le cortex cérébral.. La voie corticobulbaire qui projette vers le noyau moteur du nerf facial est affectée, donc on s’attend d’observer une incapacité à fermer les yeux et produire un sourire | FAUX |
L’activité du locus ceruleus est prédominante pendant le sommeil | FAUX |
Une perte de proprioception du côté gauche du corps pourrait s’expliquer par l’atteinte spécifique de la voie lemniscale au niveau du mésencéphale gauche | FAUX |
L’hypothalamus joue un rôle crucial dans le maintien de l’homéostasie.. Il agit principalement par une action directe sur les organes du corps | FAUX |
Le corps cellulaire du neurone post-ganglionnaire se trouve systématiquement dans le système nerveux central | FAUX |
Les neurones post-ganglionnaires du système parasympathique relâchent la noradrénaline | FAUX |
On retrouve les récepteurs α-adrénergiques sur tous les neurones post-ganglionnaires | FAUX |
La glande médullo-surrénale libère de l’adrénaline et de l’acétylcholine directement dans le sang | FAUX |
Le rameau blanc communicant est un court segment qui relie le nerf spinal au ganglion paravertébral, dans lequel circulent les neurones pré-ganglionnaire du système parasympathique | FAUX |
Les efférences sympathiques qui assurent la dilatation de la pupille émergent du système nerveux central au niveau des segments cervicaux de la moelle épinière | FAUX |
Contrairement au système somatique, le contrôle des fonctions autonomes ne peut pas s’effectuer par le biais d’activité réflexe | FAUX |
La libération d’adrénaline par la glande médullo-surrénale active les glandes sudoripares pour favoriser la sudation et ainsi abaisser la température corporelle | FAUX |
L’activité parasympathique génère la production d’une salive épaisse | FAUX |
Les neurones pré-ganglionnaires du système parasympathique atteignent le ganglion paravertébral via le rameau blanc communiquant | FAUX |
Le rôle de l’hypothalamus se limite au déclenchement de réponses physiologiques | FAUX |
L’impact de l’activité sympathique sur système gastro-intestinal se traduit par une augmentation de l’activité de ce dernier, notamment par une augmentation du péristaltisme et des sécrétions | FAUX |
Les corps cellulaires d’une partie des neurones pré-ganglionnaires du système parasympathiques sont situés dans la corne latérale des segments cervicaux de la moelle épinière | FAUX |
Les ganglions où sont situés les corps cellulaires des neurones post-ganglionnaires du système parasympatique sont situés soit le long de la moelle épinière ou près de l’organe cible du neurone | FAUX |
Pendant l’activité physique, les systèmes sympathique et parasympathique agissent de façon synergique en augmentant chacun leur activité | FAUX |
Le syndrome de Horner pourrait être observé à la suite d’une tumeur qui touche les segments D4 à D7 de la moelle épinière | FAUX |
L’innervation sympathique et parasympathique ont un effet antagoniste sur la glande médullo-surrénale pour le contrôle de la libération de l’adrénaline | FAUX |
Les afférences du système nerveux autonome pénètrent dans le SNC au niveau de la moelle épinière et du tronc cérébral.. Les portes d’entrées pour le tronc cérébrales sont les nerfs occulomoteur 3, facial 7, glossopharyngien 9 et le nerf vague 10 | FAUX |
Les mécanorécepteurs ne sont sensibles qu’à l’étirement des tissus | FAUX |
Les afférences viscérales qui entrent dans le système nerveux central par la moelle épinière ont des projections qui atteignent le noyau solitaire dans le tronc cérébral | FAUX |
L’activité sympathique contribue à la dissipation de la chaleur en favorisant la vasoconstriction des capillaires sanguins | FAUX |
Bien que les neurones qui innervent les vaisseaux sanguins de la peau du visage émergent du tronc cérébral, leur contrôle par le système sympathique s’opère de la même façon que pour le reste du corps | FAUX |
On s’attend d’observer ces signes lors d’une activité intense : Contraction des muscles élévateurs de la paupière, contraction de la pupille, production d’une salive épaisse | FAUX |
La diminution de la fréquence et de la force des battements cardiaques s’opèrent via l’activation des récepteurs β1-adrénergiques | FAUX |
L’ajustement réflexe de la profondeur et de la fréquence des respirations en réaction à la détection d’une concentration trop faible en oxygène dans le sang est régulé par l’hypothalamus | FAUX |
La contraction de la pupille dans le syndrome de Horner s’explique par une hyperactivité du système parasympatique | FAUX |
Une lésion au centre du chiasma optique résulte en une perte de vision de la partie centrale du champ visuel | FAUX |
Toute l’information afférente que reçoivent les noyaux vestibulaires du tronc cérébral provient du système vesitublaire | FAUX |
Le réflexe optocinétique s’active lors de mouvements rapides de la tête | FAUX |
Lorsque l’on se tient debout, la macula de l’utricule est en position verticale par rapport au sol | FAUX |
Les aires corticales visuelles associatives sont impliquées dans la reconnaissance des formes, des grandeurs et des textures | FAUX |
Le système vestibulaire n’est essentiel que pour le contrôle postural | FAUX |
Le gain du réflexe vestibulo-oculaire est contrôlé par le cortex cérébral | FAUX |
Lors de la manœuvre de Hallpike, on s’attend à ce que la personne ressente des étourdissements à cause de la présence de cristaux dans les canaux semi-circulaires des deux oreilles | FAUX |
La perception de la décélération d’un ascenseur est réalisée grâce aux signaux nerveux transmis pas l’utricule | FAUX |
Le déplacement des yeux vers sa droite constitue un mouvement conjugué | FAUX |
Une lésion du faisceau longitudinal médian affecte la coordination des mouvements des deux yeux et des mouvements de la tête | FAUX |
L’activation des cellules ciliées d’un seul canal semi-circulaire permet la détection des mouvements de la tête | FAUX |
Une lésion du nerf optique droit entraîne une perte de vision complète de l’hémichamp gauche | FAUX |
L’information visuelle transmise dans le cortex cérébral par la voie ventrale est utilisée pour ajuster les mouvements | FAUX |
L’information sensorielle en provenance du canal semi-circulaire horizontal est transmise principalement au noyau du nerf trochléaire pour assurer l’efficacité du réflexe vestibulo-occulaire | FAUX |
Des troubles vestibulaires associés à une perte d’audition sont généralement le signe d’une lésion centrale | FAUX |
Les cellules de la rétine de l’œil droit situées près du nez, transmettent l’information visuelle sur l’hémichamp controlatéral | FAUX |
Seules les projections du système vestibulaires vers les noyaux des nerfs crâniens III, IV et VI sont nécessaires pour le contrôle des yeux et de la tête | FAUX |
Le contrôle volontaire des saccades s’effectue sous le contrôle entier des centres du tronc cérébral | FAUX |
On s’attend d’une personne avec une lésion de la voie visuelle dorsale qu’elle puisse saisir un objet sans ne pouvoir l’identifier | FAUX |
Les fibres nerveuses qui émergent de l’œil gauche et qui atteignent l’hémisphère droit croisent au niveau du corps genouillé latéral | FAUX |
Une personne a une atteinte du système visuelle qui l’empêche d’avoir conscience de la présence d’un objet mais elle demeure capable de pointer celui-ci lorsqu’on lui demande.. On peut suspecter une atteinte des collicules supérieurs | FAUX |
L’efficacité du réflexe optocinétique dépend du bon fonctionnement des canaux-semicirculaires | FAUX |
Les signes classiques d’une atteinte vestibulaire associés au syndrome d’Horner laissent présager que l’atteinte est corticale | FAUX |
Lors de mouvements lents de la tête, le réflexe vestibulo-oculaire permet de stabiliser le regard | FAUX |
L’ampoule et la saccule sont les deux organes otholitiques | FAUX |
Le contrôle inhibiteur joue un rôle primordial dans le générateur central de patron | VRAI |
Les fonctions atteintes lors d’une lésion cérébelleuse dépendent du site de la lésion dans le cervelet | VRAI |
La dysarthrie s’observe entre autres à la suite d’une lésion du paravermis et du cérébrocervelet | VRAI |
Le vermis et le paravermis forment le spinocervelet | VRAI |
Le réflexe d’extension croisée se traduit par une flexion du membre stimulé et une extension du membre opposé | VRAI |
La moelle épinière peut contribuer à l’intégration des informations sensorielles et centrales dans le contrôle des mouvements | VRAI |
Certains réflexes posturaux permettent de tester l’intégrité du système nerveux central | VRAI |
L’orientation et l’équilibre sont les deux éléments clés assurés par le contrôle postural | VRAI |
Les fibres moussues transmettent l’information de la moelle épinière et du tronc cérébral vers le cortex cérébelleux | VRAI |
Le lobe flocculonodulaire envoie des efférences directement à l’extérieur du cervelet, sans passer par les noyaux profonds du cervelet | VRAI |
Un des rôles principaux du cervelet est de comparer l’intention du mouvement à réaliser et le mouvement réellement produit | VRAI |
La maturation du système nerveux entraîne la disparition de certains réflexes qui sont normaux chez le nourrisson | VRAI |
Les cellules de Purkinje forment la seule voie de sortie du cortex cérébelleux | VRAI |
L’information visuelle nécessaire à la bonne exécution des mouvements d’atteinte et de saisies d’objet est traitée dans la partie dorsale du cortex cérébral | VRAI |
L’activité des hémisphères latéraux du cervelet est associée à la coordination des mouvements des membres supérieurs | VRAI |
L’activité des neurones du noyau dentelé est intimement liée au contrôle de la motricité fine | VRAI |
Les fibres nerveuses qui transitent via les pédoncules cérébelleux supérieurs projettent uniquement vers le cortex cérébral | VRAI |
La programmation de la commande motrice des mouvements d’atteintes et de saisies repose sur l’intégration de l’information sensorielle de différente modalité | VRAI |
Dans un test de posturographie, une personne avec une lésion au sys vestibulaire se tient debout. L’enviro visuel et la plateforme sur laquelle elle se tient suivent le balancement normal du corps observés en debout. On doit s'attendre à que la pers tombe | VRAI |
Les canaux semi-circulaires envoient de l’information vers le lobe flocculonodulaire | VRAI |
L’axone d’une cellule granulaire contacte plusieurs milliers de cellules de Purkinje | VRAI |
Le maintien de la posture repose sur l’intégration de l’information visuelle, proprioceptive et vestibulaire | VRAI |
Le cortex cérébral contribue de façon importante au contrôle de la cheville pendant la marche | VRAI |
L’ataxie est une conséquence commune à toutes les lésions cérébrelleuses | VRAI |
Le vestibulocervelet est impliqué dans le contrôle des mouvements occulaires | VRAI |
Les fibres proprioceptives assistent le contrôle des mouvements, notamment par l’activation de boucles réflexes | VRAI |
Le nystagmus peut survenir à la suite d’une lésion du lobe flocculonodulaire | VRAI |
La dysmétrie se caractérise par une incapacité à contrôler la longueur des mouvements | VRAI |
La dégénérescence de la substance noire est à l’origine de la physiopathologie de la Maladie de Parkinson | VRAI |
La dopamine peut difficilement être remplacée | VRAI |
Le traitement de la Maladie de Parkinson est principalement médicamenteux, mais la chirurgie peut aider certains patients | VRAI |
L’atrophie de la substance noire se voit à l’autopsie des patients | VRAI |
Les troubles de la motricité peuvent être hyper ou hypokinétiques | VRAI |
L’étiologie exacte de la Maladie de Parkinson est imprécise mais plusieurs facteurs on été mis en cause dont la génétique, et certaines toxines environnementales | VRAI |
Le noyau caudé et le putamen constituent l’entrée principale théorique des noyaux gris centraux | VRAI |
La chirurgie ne guérit pas la Maladie de Parkinson | VRAI |
Il n'existe pas de thérapie pour remplacer la substance noire | VRAI |
La dopamine est un neurotransmetteur important dans la « circuiterie » des noyaux gris centraux mais n’est pas le seul | VRAI |
La Maladie de Parkinson est la maladie neurodégénérative la plus fréquente après la Maladie d’Alzheimer (La maladie de Parkinson se situe donc au second rang) | VRAI |
Les noyaux gris centraux ont un rôle important dans l’élaboration des mouvements | VRAI |
Il y a plusieurs voies dites directes dans les noyaux gris centraux | VRAI |
Le manque de dopamine est à l’origine d’un débalancement des voies directes et indirectes de communication dans les noyaux gris centraux | VRAI |
Les noyaux gris centraux ont un rôle non pas seulement dans la motricité mais aussi dans l’humeur et les fonctions cérébrales supérieures | VRAI |
Les tremblements sont une manifestation hyperkinétique | VRAI |
Le thalamus est la voie de sortie principale des noyaux gris centraux | VRAI |
Les noyaux gris centraux sont faits de substance grise | VRAI |
Les noyaux gris centraux sont composés de 5 structures qui sont : le noyau caudé, le putamen, le globus pallidus, le noyau sous-thalamique et la substance noire | VRAI |
La Maladie de Parkinson atteint les gens âgés plus que les jeunes adultes | VRAI |
Le sommeil paradoxal est caractérisé par des épisodes de mouvements oculaires rapides | VRAI |
La destruction des efférences des noyaux suprachiasmatiques entraîne la disparition des rythmes circadiens | VRAI |
Les noyaux suprachiasmatiques reçoivent des projections des cellules ganglionnaires de la rétine | VRAI |
La proportion importante de sommeil paradoxal observée chez les nouveaux-nés favoriserait la maturation du système nerveux central | VRAI |
L'adénosine est un facteur hypnogène | VRAI |
Le sommeil se différencie de l'anesthésie et du coma par le fait qu'il est facilement réversible | VRAI |
La voie réticulo-hypothalamo-corticale est une des deux voies du réseau de l'éveil | VRAI |
L'insomnie chronique s’accompagne d’un déséquilibre des neurotransmetteurs qui contrôlent le début et la durée des cycles de sommeil | VRAI |
Les mouvements périodiques associées au syndrome des jambes sans repos se produisent durant la phase de sommeil lent | VRAI |
Durant la journée l'activité des noyaux suprachiamatiques diminue celle du noyau paraventriculaire | VRAI |
Le syndrome d'apnée du sommeil est causé par un affaissement des voies respiratoires qui bloque le passage de l’air | VRAI |
Environ la moitié du temps de sommeil des nouveaux-nés est de type paradoxal | VRAI |
Durant la phase 4 du sommeil lent, l'activité neuronale est au plus bas et l'action du système nerveux parasympathique induit une diminution de la pression sanguine et du rythme cardiaque | VRAI |
Les facteurs hypnogènes sont des substances qui s’accumulent durant la journée et qui finissent par induire une envie de dormir | VRAI |
Non traité, le syndrome d'apnée du sommeil peut entraîner des troubles cardio-vasculaires | VRAI |
Une personne de 75 ans aura typiquement passé 25 ans de sa vie à dormir | VRAI |
Les systèmes modulateurs ascendants modulent l'activité du réseau exécutif de l'éveil | VRAI |
Le réseau exécutif de l'éveil comprend les trois structures suivantes: hypothalamus postérieur, noyau basal de Meynert et thalamus intra-laminaire | VRAI |
Les noyaux suprachiasmatiques sont des noyaux de l'hypothalamus | VRAI |
Durant un épisode de cataplexie la personne reste conscience | VRAI |
L'amplitude du signal EEG dépend du degré de synchronisation des neurones | VRAI |
Avec l'électroencéphalographie, il n'est pas possible d'enregistrer l'activité des neurones de manière unitaire | VRAI |
Les fuseaux du sommeil sont des bouffées d'activité de haute fréquence que l'on observe durant la phase 2 du sommeil lent | VRAI |
Les cycles circadiens de l'alternance veille-sommeil sont synchronisés par la lumière du jour | VRAI |
En plus des systèmes modulateurs ascendants, il existe des systèmes modulateurs descendants ayant une action sur les neurones moteurs | VRAI |
La chronobiologie est le champ de recherche qui s’intéresse aux rythmes biologiques | VRAI |
Dormir est une activité énergivore | VRAI |
L'épiphyse module la production de mélatonine | VRAI |
En condition d'isolement temporel, un décalage des pics minimaux de température vers le début de la phase de sommeil est observé | VRAI |
Une nuit de sommeil comporte plusieurs cycles d'alternance entre sommeil lent et paradoxal | VRAI |
Quand un nouveau né fait ces nuits, c'est que les rythmes circadiens d'alternance veille-sommeil sont en place | VRAI |
Les rêves sont possible en dehors des périodes de sommeil paradoxal | VRAI |
Le locus cœruleus fait parti des systèmes modulateurs ascendants | VRAI |
L'insomnie chronique est souvent associée à des troubles psychiatriques | VRAI |
Durant la phase de sommeil lent, plus le sommeil devient profond plus les ondes EEG ont des amplitudes élevées | VRAI |
Le sommeil paradoxal est dit paradoxal car l'activité cérébrale (EEG) est similaire à celle enregistrée durant la veille | VRAI |
Le syndrome d'apnée du sommeil est une pathologie du sommeil caractérisée par des arrêts respiratoires durant la nuit | VRAI |
Les « basket cells » sont des interneurones inhibiteurs situés dans la couche granulaire du cortex cérébelleux | FAUX |
L’ajustement postural anticipateur est sous le contrôle du spinocervelet | FAUX |
Les neurones du noyau fastigial projettent vers le cortex cérébral | FAUX |
Le pourcentage de neurones retrouvés dans le cervelet sur l’ensemble du système nerveux est proportionnel au volume que le cervelet occupe | FAUX |
La production de mouvements d’atteintes et de préhension est sous le contrôle unique du cortex cérébral | FAUX |
Le maintien de la posture ne s’opère que sur la base d’un mode de contrôle par feedback | FAUX |
La coordination des muscles utilisés pour la marche repose uniquement sur l’activation des circuits de la moelle épinière | FAUX |
Toutes les cellules de Purkinje projettent vers l’un des noyaux profond du cervelet | FAUX |
Une perturbation du sens de la vibration ou une atteinte de certains réflexes sont souvent des signes d’ataxie cérébelleuse | FAUX |
L’adiadococinésie se caractérise par un manque de contrôle de la longueur des mouvements | FAUX |
Une lésion au cervelet n’affecte que très légèrement la capacité d’adapter ses mouvements à un nouvel environnement sensorimoteur | FAUX |
Lors de la perturbation d’un mouvement, l’ajustement de l’activité musculaire se fait uniquement par l’intégration de l’information sensorielle au niveau du cortex cérébral | FAUX |
Les efférences du spinocervelet projettent toutes vers le même noyau cérébelleux profond | FAUX |
Une personne démontre de la difficulté à atteindre correctement une cible située devant elle avec sa main gauche. On peut suspecter une lésion de l’hémisphère cérébelleux droit | FAUX |
On retrouve la matière grise dans la partie centrale du cervelet | FAUX |
L’ataxie se caractérise notamment par des mouvements volontaires saccadés et imprécis et une diminution de la force musculaire | FAUX |
Le lobe flocculonodulaire est situé sur la face dorsale du cervelet | FAUX |
Les mouvements d’atteintes et de saisie d’objet reposent sur un contrôle par « feedback» dans la première partie du mouvement et par « feedforward » dans la dernière partie du mouvement | FAUX |
Toutes les ataxies sont liées à une lésion du cervelet | FAUX |
Les fibres nerveuses qui transitent via les pédoncules cérébelleux inférieurs transmettent uniquement de l’information en provenance du tronc cérébral et de la moelle épinière vers le cervelet | FAUX |
La contraction des muscles gastrocnémiens observée lorsque l’on tend le bras vers l’avant illustre bien le contrôle par « feedback » de la posture | FAUX |
La rotation du cou entraine une flexion des membres du côté où pointe le nez et une extension des membres du côté opposé lors de certaines atteintes du système nerveux central chez l’enfant et l’adulte | FAUX |
Les fibres grimpantes établissent plusieurs contacts synaptiques avec une seule cellule granulaire | FAUX |
La vision permet de maintenir un contrôle postural adéquat dans l’ataxie cérébelleuse | FAUX |
La Maladie de Parkinson est d’origine congénitale | FAUX |
Les noyaux gris centraux sont constitués de deux structures | FAUX |
Il n’y a pas de neurotransmetteur dans les noyaux gris centraux | FAUX |
Les noyaux gris centraux s’occupent seulement de la mémoire | FAUX |
Les noyaux gris centraux envoient de l’information directement et seulement à la moelle épinière | FAUX |
La dopamine est le seul neurotransmetteur impliqué dans les noyaux gris centraux | FAUX |
Il n’y a pas de traitement pour la Maladie de Parkinson | FAUX |
Le thalamus est atrophique dans la Maladie de Parkinson | FAUX |
La dopamine est produite par le thalamus | FAUX |
Un dysfonctionnement des noyaux gris centraux n’entraîne aucune répercussion sur la motricité | FAUX |
Le thalamus est la voie d’entrée des noyaux gris centraux | FAUX |
La voie d’entrée théorique des noyaux gris centraux est n’importe quelle des structures composant les noyaux gris centraux | FAUX |
La Maladie de Parkinson est une maladie héréditaire rare | FAUX |
Il y a un surplus de dopamine dans la Maladie de Parkinson | FAUX |
La Maladie de Parkinson est causée par une excroissance de la substance noire | FAUX |
Les noyaux gris centraux envoient directement de l’information à tous les lobes cérébraux | FAUX |
Les noyaux gris centraux comprennent le thalamus | FAUX |
Les troubles de la motricité n’ont aucune conséquence sur la vie quotidienne des patients | FAUX |
Le manque de dopamine n’a pas de répercussion sur le fonctionnement des noyaux gris centraux | FAUX |
La dopamine n’est pas importante dans les noyaux gris centraux | FAUX |
La Maladie de Parkinson est surement causée par une atteinte virale | FAUX |
Le modèle schématique du fonctionnement des noyaux gris centraux n’est jamais remis en question | FAUX |
La Maladie de Parkinson est une maladie vasculaire | FAUX |
Les noyaux gris centraux ne sont pas impliqués dans les maladies de troubles du mouvement | FAUX |
Durant la phase 3 du sommeil lent les muscles n'ont plus de tonus | FAUX |
Le syndrome d'impatience des membres inférieurs est caractérisé par des mouvements des jambes qui se produisent au cours du sommeil, de façon involontaire | FAUX |
Les ondes de type delta sont associées à un état de mort cérébral | FAUX |
L'activité corticale est plus importante quand les neurones sont synchronisés que quand ils sont désynchronisés | FAUX |
Le sommeil peut être défini comme un phénomène unitaire et passif dont la finalité est la récupération de l'organisme | FAUX |
Le sommeil paradoxal est une caractéristique commune à tous les animaux terrestres | FAUX |
Les neurones agissant au niveau des structures du sommeil sont uniquement des neurones cholinergiques | FAUX |
L’alternance du jour et de la nuit est la source directe des rythmes circadiens | FAUX |
Lors des attaques narcoleptiques, la personne passe directement de l’état de veille à la phase 4 du sommeil lent | FAUX |
La narcolepsie est probablement due à un déficit en acétylcholine | FAUX |
Le cycle respiratoire suit un cycle infradien | FAUX |
Le somnambulisme se produit essentiellement pendant la phase de sommeil lent de type I | FAUX |
L'hibernation est caractérisée par une absence de phase de sommeil | FAUX |
En moyenne, les personnes âgées dorment deux fois plus que les adultes entre 20 et 30 ans | FAUX |
Quand les sujets sont en condition d'isolement temporel, on observe une disparition du cycle veille-sommeil | FAUX |
Les complexes k sont des ondes rapides de grande amplitude associées à de brefs réveils du sujet durant la phase 1 du sommeil lent | FAUX |
L'activité des neurones est plus synchrone durant la phase 2 du sommeil lent que durant la phase 4 | FAUX |
La caféine à un effet agoniste à l'adénosine | FAUX |
Le somnambulisme est une parasomnie commençant à apparaître vers l'adolescence | FAUX |
durant le premier pic de somnolence observé la nuit entre 3h et 6h, on observe une augmentation de la température corporelle | FAUX |
Le sommeil paradoxal est divisé en 4 phases | FAUX |
Durant la phase de sommeil paradoxal on observe une excitation des neurones moteurs | FAUX |
Durant la phase 3 du sommeil lent les muscles non plus de tonus | FAUX |
L’œdème cérébral se résorbe au cours de la deuxième semaine post-AVC | VRAI |
Un AVC embolique est une forme d’AVC ischémique | VRAI |
La plupart des AVC sont ischémiques | VRAI |
Une atteinte de l’artère sylvienne affecte les lobes temporaux, frontaux et pariétaux | VRAI |
L’œdème cérébral est maximal au 4e jour post-AVC | VRAI |
Une ICT n’entraîne pas de perte de fonction durable | VRAI |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des intensités lumineuses | VRAI |
Une asomatognosie peut survenir suite à une lésion pariétale gauche | VRAI |
La prosopagnosie est l’agnosie des visages | VRAI |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des objets | VRAI |
Une atteinte de l’artère cérébrale postérieure superficielle entraîne un état confusionnel | VRAI |
L’asomatognosie survient habituellement comme une composante du syndrome d’Anton-Babinski | VRAI |
Une atteinte de l’artère cérébrale postérieure superficielle entraîne une hémianopsie latérale homonyme | VRAI |
La résorption de l’œdème cérébral est responsable d’une certaine récupération | VRAI |
Les AVC lacunaires produisent des lésions très spécifiques | VRAI |
L’attention est ce qui permet de mener l’information de la mémoire sensorielle à la mémoire de travail | VRAI |
Plusieurs régions cérébrales sont impliquées à la fois dans la mémoire, les émotions, et la prise de décision | VRAI |
Suite à une lésion de l’hippocampe, la capacité de mémorisation est atteinte | VRAI |
Il est plus facile de mémoriser une information seule qu’une combinaison d’information | VRAI |
La dépression est associée à une augmentation du débit sanguin dans l’amygdale | VRAI |
Mémoire à court terme et mémoire de travail sont synonymes | VRAI |
L’irritabilité peut être un indice d’un début de démence | VRAI |
Pour améliorer sa mémoire à long terme, le plus important est d’améliorer ses stratégies de mémorisation | VRAI |
La mémoire émotionnelle est mature avant la mémoire auto-biographique | VRAI |
Le cortex orbitofrontal est impliqué dans la valence émotionnelle du regret | VRAI |
La mémorisation est un processus actif de consolidation des souvenirs les rendant moins vulnérables à l’oubli | VRAI |
Le sommeil favorise la consolidation et rend la mémoire moins susceptible aux interférences | VRAI |
Le système limbique participe à la régulation des fonctions viscérales | VRAI |
L’oubli est une capacité en soi | VRAI |
Le noyau basal de Meynert est impliqué dans le niveau d’éveil | VRAI |
La capacité à oublier est une capacité essentielle | VRAI |
L’association d’idée contribue à améliorer les phases d’encodage et de restitution | VRAI |
Le MMSE et le Pecpa-2r sont des tests sensibles à des pertes de la mémoire à court terme | VRAI |
La capitale de l’Australie, c’est une information de votre mémoire sémantique | VRAI |
Une hémiplégie affectant le membre inférieur signe une atteinte de l’artère cérébrale postérieure | FAUX |
L’anosognosie survient habituellement suite à une atteinte frontale | FAUX |
L’artère cérébrale antérieure est le plus souvent touchée de façon isolée | FAUX |
Un AVC subarachnoïde est nécessairement hémoragique | FAUX |
L’anosognosie est une incapacité à reconnaitre comme sien une partie de son corps | FAUX |
L’asomatognosie est une incapacité à reconnaitre un déficit majeur (ex. : cécité, hémiplégie) | FAUX |
L’asomatognosie survient généralement suite à une lésion préfrontale droite | FAUX |
Le polygone de Willis est un système d’anastomose convoyant le sang du cerveau vers le cœur. | FAUX |
Un AVC est une perte progressive de la fonction cérébrale | FAUX |
Un AVC durant moins de 24h est appelé AVC transitoire. | FAUX |
La pénombre est la zone morte au pourtour de la lésion. | FAUX |
Une atteinte de l’artère cérébrale antérieure superficielle entraîne une prosopagnosie. | FAUX |
Un AVC ischémique est caractérisé par une rupture d’un vaisseau sanguin à l’intérieur du cerveau. | FAUX |
L’athérosclérose est un durcissement des artères augmentant leur diamètre. | FAUX |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des couleurs. | FAUX |
L’amygdale est responsable de la mémorisation | FAUX |
La mémoire à court terme à un rôle spécifique pour les informations nouvelles | FAUX |
L’humeur est une expérience émotionnelle de courte durée | FAUX |
La mémoire sensorielle est améliorée par la répétition et les émotions | FAUX |
L’aire septale libère des hormones dans le sang | FAUX |
Il est possible de tester la mémoire d’une personne agée en l’interrogeant sur des événements de sa jeunesse | FAUX |
Le noyau accumbens produit de l’Acétylcholine qui est ensuite redistribué dans le cerveau | FAUX |
Les experts aux échecs ont une capacité de mémoire supérieure aux novices | FAUX |
Le sommeil et en particulier sa phase paradoxale (REM) permet d’améliorer la mémoire à court terme | FAUX |
La partie antérieure du système limbique est plus particulièrement impliquée dans la mémoire | FAUX |
Il est normal que la mémoire diminue avec l’âge | FAUX |
Le dictionnaire est une bonne analogie du stockage des informations en mémoire à long terme | FAUX |
Selon la théorie des marqueurs somatiques (Damasio), les décisions sont séparées du traitement des émotions | FAUX |
La mémoire procédurale est une forme de mémoire sensorielle | FAUX |
Une amnésie antérograde affecte la mémoire à long terme | FAUX |
La mémoire de travail doit être distinguée de la mémoire à court terme | FAUX |
La mémoire sémantique permet de retenir environ 5 à 9 éléments | FAUX |
La mémoire procédurale nous permet d’expliquer les comportements à avoir pour par exemple faire du vélo | FAUX |
Une amnésie rétrograde affecte indistinctement les mémoires anciennes et proches | FAUX |
L’éveil physiologique (réponses motrices viscérales et somatiques) est lié à la mémoire sémantique | FAUX |
L’hématome épidural n’est jamais dangereux. | Faux |
La majorité des TCC sont sévères. | Faux |
L’hématome sous-dural est situé entre la dure-mère et l’os du crâne. | Faux |
L’hématome sous-dural est plus fréquent chez le jeune adulte dans la vingtaine. | Faux |
Aucune recommandation spéciale n’existe dans la littérature médicale sur le retour aux activités sportives après une commotion cérébrale. | Faux |
Les hématomes épiduraux sont situés entre la dure-mère et le cerveau. | Faux |
Le Syndrome de l’enfant secoué n’a jamais de conséquence. | Faux |
Les hématomes épiduraux ont toujours un bon pronostic. | Faux |
L’engagement du lobe temporal n’a aucune conséquence. | Faux |
Il n’y a aucun danger à renvoyer sur le terrain un excellent quart-arrière au cours d'une même partie après qu'il ait subi une commotion cérébrale. | Faux |
Opérer un volumineux hématome épidural n’est pas urgent. | Faux |
Il faut absolument perdre connaissance pour porter un diagnostic de commotion cérébrale. | Faux |
L’hématome épidural est une hémorragie dans le cerveau. | Faux |
La justice n’intervient jamais dans les cas d’enfant secoué. | Faux |
Le monitoring de la pression intracrânienne nécessite une chirurgie majeure. | Faux |
Une seconde commotion cérébrale immédiatement après une première est sans danger. | Faux |
L’engagement du lobe temporal n’atteint pas le tronc cérébral. | Faux |
L’hématome sous-dural n’est jamais dangereux. | Faux |
L’évaluation neurologique se fait par des termes subjectifs seulement. | Faux |
Le Syndrome de l’enfant secoué n’entraîne jamais d’hémorragie intracrânienne. | Faux |
Un joueur de hockey qui a toujours ces céphalées post-commotion cérébrale peut retourner au sport contact. | Faux |
Les conséquences des TCC sévères n’ont pas d’impact sur la vie personnelle, familiale et la société | Faux |
Le calcul de la Pression de Perfusion Cérébrale est importante dans le traitement de l’hypertension intracrânienne. | Vrai |
L’hématome sous-dural est une pathologie fréquente chez les gens âgés, dû à l’atrophie cérébrale. | Vrai |
L’évaluation neurologique précise est importante pour le suivi | Vrai |
Les hématomes épiduraux sont généralement associés à des fractures du crâne. | Vrai |
L’engagement de l’uncus du lobe temporal provoque une dilatation pupillaire. | Vrai |
La dilatation pupillaire est un signe d’urgence à agir. | Vrai |
Il y a des effets cumulatifs des commotions cérébrales. | Vrai |
La commotion cérébrale peut être définie comme étant toute altération de l’état de conscience. | Vrai |
Les hommes sont plus souvent touchées que les femmes par des TCC dans des accident de la route ou accident de travail. | Vrai |
Le retour aux activités sportives après une commotion cérébrale nécessite l’absence de symptômes résiduels avec un retour progressif aux activités sous supervision. | Vrai |
L’évaluation de l’état neurologique se fait par l’échelle de Glasgow. | Vrai |
Il existe des traitements pour prévenir les lésions secondaires au TCC. | Vrai |
Le monitoring de la pression intracrânienne fait partie du traitement du TCC sévère aux soins intensifs. | Vrai |
Les accidents de la route sont la cause majeure de TCC sévères et de mortalité chez les moins de 45 ans. | Vrai |
Une fracture de l’écaille temporale est à l’origine classique de l’hématome épidural par déchirure de l’artère méningée moyenne. | Vrai |
Le « Syndrome de l’enfant secoué » peut se présenter avec des hématomes sous-duraux et d’autres signes classiques. | Vrai |
Les hématomes épiduraux de bon volume doivent être opérés rapidement en urgence. | Vrai |