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neuro test final
neuro test
Question | Answer |
---|---|
La vision est affectée dans la sclérose en plaques parce que le nerf optique est entièrement situé dans le SNC et qu’il est myélinisé par des oligodendrocytes | vrai |
L’information olfactive est transmise en premier lieu vers les noyaux sensoriels du mésencéphale | faux |
L’information visuelle est envoyé à la fois aux aires corticales du lobe occipital et vers le tronc cérébral | vrai |
Une lésion du noyau abducens de la partie droite du pont entraîne une déviation médiale de l’œil droit. | vrai |
L’activation des neurones moteurs du noyau parasympathique du nerf oculomoteur entraîne la dilatation de la pupille | faux |
La branche afférente du réflexe pupillaire emprunte le nerf optique | vrai |
Le réflexe d’accommodation emprunte une voie qui passe par le cortex cérébral | vrai |
Une lésion de la partie inférieure du bulbe rachidien n’aura pas d’impact sur l’activation des muscles de la mâchoire (ou n’aura pas d’impact sur le toucher discriminatif du visage.) | vrai |
Le nerf facial est un nerf mixte qui transmet de l’information sensorielle de la langue, du phraynx et de la peau près de l’oreille | vrai |
L’information auditive relayée vers le corps genouillé médian est utilisées entre autres pour diriger les yeux et la tête vers la source sonore | faux |
Le réflexe nauséeux continue d’être fonctionnel à la suite d’une lésion du nerf glossopharyngien | faux |
Les noyaux moteurs du nerf vague sont situés au niveau du pont | faux |
C’est l’activation de cellules ciliées distinctes de l’organe de Corti qui permet la détection de sons graves et de sons aigus | vrai |
Les nerfs accessoires et hypoglosses sont des nerfs uniquement moteurs | vrai |
À la suite d’une lésion du nerf occulomoteur, l’œil ipsilatéral à la lésion se dirigera en haut et médialement | faux |
La coordination des yeux est assurée en partie par les cellules nerveuses qui transitent par le faisceau longitudinal médial | vrai |
C’est au niveau de l’organe de Corti que s’effectue la transduction du signal sonore en influx nerveux | vrai |
Le tegmentum est la partie dorsale du tronc cérébral et est composé principalement de structures et des voies sensorielles | vrai |
C'est au niveau du tectum que transistent les voies nerveuses impliquées dans les mouvements coordonnés de la tête et des yeux | vrai |
Le nerf olfactif et le nerf optique se distinguent des autres nerfs crâniens du fait qu’on ne les retrouve que dans le SNC | vrai |
Une lésion du nerf trochléaire peut avoir un impact sur la capacité à déplacer l’œil vers le bas | vrai |
Le réflexe consensuel implique une voie nerveuse qui croise la ligne médiane | vrai |
La voie nerveuse qui supporte le réflexe cornéen transite par deux nerfs crâniens | vrai |
Les noyaux du trijumeau sont confinés dans un espace restreint au niveau du pont | faux |
Une paralysie du nerf facial empêche la personne de complètement soulever la paupière du côté ipsilatéral de la lésion | faux |
Les sons de basse fréquence activent des cellules ciliées situées près de l’entrée de la cochlée | faux |
Le décodage d’un son dépend de l’emplacement des cellules ciliées activées par celui-ci sur la membrane basilaire | vrai |
L’information auditive qui permet de reconnaître un son emprunte la voie nerveuse qui atteint le cortex cérébral | vrai |
On peut observer une diminution de la salivation à la suite d’une lésion du nerf glossopharyngien | vrai |
Le contrôle parasympathique de l’œil s’effectue à partir d’un noyau situé dans le pont | faux |
Les fonctions motrices du nerf vague (X) peuvent être vérifiées en testant le réflexe nauséeux | vrai |
On retrouve les pyramides sur la face dorsale du bulbe rachidien (medulla) | faux |
Le tectum se situe sur la partie ventrale du tronc cérébral | faux |
Les neurotransmetteurs libérés par les noyaux de la formation réticulée ont une action rapide sur leurs différentes cibles à travers le système nerveux central | faux |
Les noyaux avec une action modulatrice de la formation réticulée sont respectivement l’aire ventrale tegmentale, le noyau pédoculopontin, le noyau du raphé et le locus ceruleus/aire médiale | vrai |
Le noyau pédonculopontin sécrète l’acétylcholine et qui a une action diffuse sur plusieurs régions de la base du cerveau et sur la moelle épinière. Son activation par stimulation électrique peut notamment générer la marche chez des chats décérébrés. | vrai |
La seule région du cerveau qui produit la dopamine est la substance noire qui projette entre autre au striatum, une structure touchée dans la maladie de parkinson | faux |
Les projections noradrénergiques du noyau du raphé projettent partout dans le système nerveux central et ont une influence déterminante sur l’humeur | faux |
Les projections sérotoninergiques et noradrénergiques de la formation réticulée module la transmission de la douleur au niveau spinal (** 2ème énnoncé pareil mais dit transimisse de l’information nociceptive) | vrai |
Le locus ceruleus projette de façon diffuse dans tout le système nerveux central et joue un rôle déterminant dans l’attention dirigée | vrai |
La voie corticospinale croise la ligne médiane au niveau de la face dorsale du bulbe rachidien. | faux |
L’information proprioceptive émanant du membre supérieur est relayée vers le cerveau via le noyau gracillis | faux |
Une personne est victime d’une hémorragie qui touche les segments thoracique 7 et 8 de la moelle épinière du côté droit. On s’attend à ce que la proprioception et le toucher discriminatif soient perturbés droite et que la sensibilité à la douleur gauche | vrai |
Plusieurs noyaux du bulbe rachidien sont impliqués dans le contrôle de l’activité cardiovasculaire, respiratoire, des mouvements de la tête et de la déglutition. | vrai |
Le cortex cérébral a une influence modulatrice sur l’activité des centres nerveux du tronc cérébral | vrai |
L’information nociceptive du membre supérieur est transmise vers le thalamus via des neurones situés dans le noyau cunéatus. | faux |
La voie spinothalamique croise la ligne médiane du système nerveux directement à son point d’entrée dans la moelle épinière. | vrai |
La voie coricospinale converge vers le tronc cérébral via les pdoncules cérébraux à la hauteur du pont | faux |
L’aqueduc cérébral est le petit canal contenant le liquide céphalorachidien qui relie le 3ème et le 4ème ventricule | vrai |
Le pont joue un rôle négligeable dans la transmission de l’information motrice du cortex au cervelet | faux |
Une lésion du nerf facial gauche entraîne une paralysie uniquement des muscles gauches de la bouche | faux |
Une lésion de la voie corticospinale dans la partie supérieure droite du mésencéphale altère les mouvements du côté droit du corps | faux |
Une personne subit un accident vasculaire cérébral dans le cortex cérébral. La voie corticobulbaire qui projette vers le noyau moteur du nerf facial est affectée, donc on s’attend d’observer une incapacité à fermer les yeux et produire un sourire. | faux |
Les drogues agissant sur l’activité de l’aire tegmentale ventrale peuvent créer une dépendance | vrai |
Le noyau pedonculopontin libère la sérotonine dans le SNC | faux |
Les neurones du noyau du raphé qui projettent vers la moelle épinière ont le pouvoir d’inhiber les influx nociceptifs qui proviennent de la périphérie | vrai |
L’activité du locus ceruleus est prédominante pendant le sommeil | faux |
Les projections spinales du locus ceruleus peuvent avoir un puissant effet inhibiteur sur la douleur | vrai |
Une perte de proprioception du côté gauche du corps pourrait s’expliquer par l’atteinte spécifique de la voie lemniscale au niveau du mésencéphale gauche. | faux |
Une lésion du mésencéphale gauche occasionne une perte de sensibilité au chaud et au froid du côté droit. | vrai |
Les informations sensorielles sont acheminées par des voies nerveuses qui circulent principalement par le tegmentum. | vrai |
Parmi les principales régions du système nerveux central impliquées dans la régulation du système nerveux autonome on compte l’hypothalamus, la formation réticulée, la moelle épinière et le système limbique. | vrai |
Les différents signaux nerveux transmis par le système nerveux autonome de la périphérie vers le système nerveux central sont captés principalement par 4 types de récepteurs | vrai |
La plupart de l’information autonome qui entre dans le système nerveux central par le tronc cérébral converge vers le noyau solitaire | vrai |
L’hypothalamus joue un rôle crucial dans le maintien de l’homéostasie. Il agit principalement par une action directe sur les organes du corps. | faux |
Les voies efférentes du système nerveux autonome comptent généralement deux neurones; le neurone pré-ganglionnaire et le neurone post-ganglionaire | vrai |
Les neurones pré-ganglionnaires du système sympathique relâchent l’acétylcholine | vrai |
Le corps cellulaire du neurone post-ganglionnaire se trouve systématiquement dans le système nerveux central. | faux |
Les neurones post-ganglionnaires du système parasympathique relâchent la noradrénaline | faux |
On retrouve les récepteurs a-adrénergiques sur tous les neurones post-ganglionnaires. | faux |
La glande médullo-surrénale libère de l’adrénaline et de l’acétylcholine directement dans le sang. | faux |
Les neurones pré-ganglionnaires du système sympathique émergent des segments spinaux T1 à L2 | vrai |
Le rameau blanc communicant est un court segment qui relie le nerf spinal au ganglion paravertébral, dans lequel circulent les neurones pré-ganglionnaires du système parasympathique. | faux |
Les efférences sympathiques qui assurent la dilatation de la pupille émergent du système nerveux central au niveau des segments cervicaux de la moelle épinière | faux |
Les neurones préganglionnaires qui innervent les viscères circulent par les nerfs splanchniques et font synapse dans un ganglion situé près des organes | vrai |
Une des fonctions du système sympathique est d’assurer le maintien de l’apport sanguin optimal dans les organes | vrai |
Selon la situation, l’activité sympathique peut entraîner une vasoconstriction ou une vasodilatation. Ces effets opposés sont assurés à la fois par des neurotransmetteurs différents et par l’activation de récepteurs adrénergiques différents | vrai |
Contrairement au système somatique, le contrôle des fonctions autonomes ne peut pas s’effectuer par le biais d’activité réflexe. | faux |
La libération d’adrénaline par la glande médullo-surrénale active les glandes sudoripares pour favoriser la sudation et ainsi abaisser la température corporelle. | faux |
L’activité parasympathique génère la production d’une salive épaisse | faux |
Les neurones préganglionnaires du système parasympathique atteignent le ganglion paravertébral via le rameau blanc communiquant. | faux |
La stimulation du système parasympathique peut déclencher la production d’une salive claire et abondante | vrai |
Le rôle de l’hypothalamus se limite au déclenchement de réponses physiologiques. | faux |
L'impact de l’activité sympathique sur système gastro-intestinal se traduit par une augmentation de l’activité de ce dernier, notamment par une augmentation du péristaltisme et des sécrétions | faux |
Les corps cellulaires d’une partie des neurones préganglionnaires du système parasympathique sont situés dans la corne latérale des segments cervicaux de la moelle épinière | faux |
Les ganglions où sont situés les corps cellulaires des neurones post-ganglionnaires du système parasympathique sont situés soit le long de la moelle épinière ou près de l’organe cible du neurone. | faux |
Le système parasympathique n’innerve pas les membres et la peau. | vrai |
L’activation parasympathique ralentit l’activité cardiaque | vrai |
Les efférences parasympathiques émergent du système nerveux en majorité par les nerfs crâniens III, VII, IX et X | vrai |
Les fibres nerveuses qui exercent un contrôle sur la vision et qui émergent du nerf oculomoteur ont pour rôle, entre autres, de contracter la pupille. | vrai |
Pendant l’activité physique, les systèmes sympathique et parasympathique agissent de façon synergique en augmentant chacun leur activité. | faux |
Le syndrome de Horner pourrait être observé à la suite d’une tumeur qui touche les segments T4 à T7 de la moelle épinière | faux |
Certains organes contrôlés par le système nerveux autonome peuvent fonctionner sans aucune innervation nerveuse. | vrai |
Les innervations sympathique et parasympathique ont un effet antagoniste sur la glande médullo-surrénale pour le contrôle de la libération de l’adrénaline | faux |
Une lésion des fibres parasympathiques qui émergent des segments sacrés de la moelle épinière pourrait entraîner l’impuissance chez l’homme | vrai |
Une lésion qui affecte le tronc cérébral peut avoir des conséquences graves sur les fonctions cardio-respiratoires. | vrai |
Les personnes avec une lésion de la moelle épinière peuvent être aux prises avec des problèmes de syncope, dû à l’interruption de l’innervation sympathique aux membres inférieurs. | vrai |
L’information sensorielle qui pénètre dans le SNC peut être, dans certaines circonstances, intégrée au niveau de son point d’entrée dans le système nerveux et générer une réponse autonome via l’activation de centre de contrôles locaux. | vrai |
Les afférences du système nerveux autonome pénètrent dans le SNC au niveau de la moelle épinière et du tronc cérébral. Les portes d’entrées pour le tronc cérébral sont le nerf oculomoteur (III), facial (VII), glossopharyngien (IX) et le nerf vague (X) | faux |
Les mécanorécepteurs ne sont sensibles qu’à l’étirement des tissus | faux |
La thermorégulation du corps est assurée par des récepteurs situés à la fois en périphérie et dans le système nerveux central. | vrai |
Les afférences viscérales qui entrent dans le système nerveux central par la moelle épinière ont des projections qui atteignent le noyau solitaire dans le tronc cérébral | faux |
Les afférences viscérales qui entrent dans le système nerveux central par la moelle épinière peuvent établir des connexions avec des motoneurones du système nerveux somatique | vrai |
Le rameau communicant gris est formé par les axones des neurones post-ganglionnaires du système sympathique | vrai |
L’activité sympathique contribue à la dissipation de la chaleur en favorisant la vasoconstriction des capillaires sanguins | faux |
Dans une situation de fuite, l’adrénaline et l’acétylcholine libérées dans le système entraînent une dilatation des artères dans les muscles pour augmenter leur oxygénation | vrai |
Bien que les neurones qui innervent les vaisseaux sanguins de la peau du visage émergent du tronc cérébral, leur contrôle par le système sympathique s’opère de la même façon que pour le reste du corps | faux |
On s’attend d’observer ces signes lors d’une activité intense : contraction des muscles élévateurs de la paupière, contraction de la pupille, production d’une salive épaisse | faux |
Le fait que l’on retrouve sur différents organes différents types de récepteurs pour un même neurotransmetteur favorise le développement d’agents pharmacologiques avec des actions ciblées | vrai |
On peut envisager qu’une lésion de la moelle épinière au niveau des segments thoraciques supérieurs à T4 puisse entraîner une diminution du contrôle des sphincters dans le système digestif | vrai |
Une lésion du tronc cérébral pourrait prévenir le bon fonctionnement des mouvements péristaltiques de l’intestin. | vrai |
L’innervation du cœur par le nerf vague ralenti la fréquence et la force des battements | vrai |
La diminution de la fréquence et de la force des battements cardiaques s’opèrent via l’activation des récepteurs B1-adrénergiques | faux |
La maladie de Raynaud se caractérise notamment par une réaction cutanée exagérée au froid. Une avenue de traitement consiste à effectuer une section des neurones préganglionnaires du système sympathique | vrai |
L’ajustement réflexe de la profondeur et de la fréquence des respirations en réaction à la détection d’une concentration trop faible en oxygène dans le sang est régulé par l’hypothalamus. | faux |
La contraction de la pupille dans le syndrome de Horner s’explique par une hyperactivité du système parasympathique | faux |
Lors du passage de la position couchée à la position debout, la libération de noradrénaline aide à prévenir un potentiel manque de sang au cerveau | vrai |
Durant la phase 3 du sommeil lent, les muscles n’ont plus de tonus | faux |
Le sommeil paradoxal est caractérisé par des épisodes de mouvements oculaires rapides. | vrai |
La destruction des efférences des noyaux suprachiamastiques entraîne la disparition des rythmes circadiens. | vrai |
Le syndrome d’impatience des membres inférieurs est caractérisé par des mouvements des jambes qui se produisent au cours du sommeil de façon involontaire | faux |
Les noyaux suprachiamastiques reçoivent des projections des cellules ganglionnaires de la rétine. | vrai |
Les ondes de type delta sont associées à un état de mort cérébral | faux |
La proportion importante de sommeil paradoxal observée chez les nouveau-nés favoriserait la maturation du système nerveux central | vrai |
L’adénosine est un facteur hypnogène | vrai |
L’activité corticale est plus importante quand les neurones sont synchronisés que quand ils sont désynchronisés. | faux |
Le sommeil se différencie de l’anesthésie et du coma par le fait qu’il est facilement réversible | vrai |
La voie réticulo-hypothalamo-corticale est une des deux voies du réseau de l’éveil | vrai |
Le sommeil peut être défini comme un phénomène unitaire et passif dont la finalité est la récupération de l’organisme | faux |
L’insomnie chronique s’accompagne d’un déséquilibre des neurotransmetteurs qui contrôlent le début et la durée des cycles de sommeil | vrai |
Le sommeil paradoxal est une caractéristique commune à tous les animaux terrestres | faux |
Les neurones agissent au niveau des structures du sommeil sont uniquement des neurones cholinergiques | faux |
Les mouvements périodiques associés au syndrome des jambes sans repos se produisent durant la phase du sommeil lent. | vrai |
Durant la journée, l’activité des noyaux suprachiamatiques diminue celle du noyau paraventriculaire. | vrai |
L’alternance du jour et de la nuit est la source directe des rythmes circadiens. | faux |
Le syndrome d’apnée du sommeil est causé par un affaissement des voies respiratoires qui bloque le passage de l’air. | vrai |
Environ la moitié du temps de sommeil des nouveau-nés est de type paradoxal | vrai |
Durant la phase 4 du sommeil lent, l’activité neuronale est au plus bas et l’action du système nerveux parasympathique induit une diminution de la pression sanguine et du rythme cardiaque | vrai |
Lors des attaques narcoleptiques, la personne passe directement de l’état de veille à la phase 4 du sommeil lent | faux |
Les facteurs hypnogènes sont des substances qui s’accumulent durant la journée et qui finissent par induire une envie de dormir | vrai |
Non traité, le syndrome d’apnée du sommeil peut entraîner des troubles cardio-vasculaires. | vrai |
Une personne de 75 ans aura typiquement passé 25 ans de sa vie à dormir | vrai |
Les systèmes modulateurs ascendants modulent l’activité du réseau exécutif de l’éveil | vrai |
La narcolepsie est probablement due à un déficit en acétylcholine | faux |
Le cycle respiratoire suit un cycle infradien | faux |
Le somnambulisme se produit essentiellement pendant la phase de sommeil lent de type I. | faux |
Le réseau exécutif de l’éveil comprend les trois structures suivantes : l’hypothalamus postérieur, le noyau basal de Meynert et le thalamus intra-laminaire. | vrai |
Les noyaux suprachiasmatiques sont des noyaux de l’hypothalamus | vrai |
L’hibernation est caractérisée par une absence de phase du sommeil | faux |
Durant un épisode de cataplexie la personne reste consciente | vrai |
L’amplitude du signal EEG dépend du degré de synchronisation des neurones | vrai |
En moyenne, les personnes âgées dorment deux fois plus que les adultes entre 20 et 30 ans. | faux |
Quand les sujets sont en condition d’isolement temporel, on observe une disparition du cycle veille-sommeil. | faux |
Les complexes k sont des ondes rapides de grande amplitude associées à de brefs réveils du sujet durant la phase 1 du sommeil lent. | faux |
Avec l’électroencéphalographie, il n’est pas possible d’enregistrer l’activité des neurones de manière unitaire. | vrai |
Les fuseaux du sommeil sont des bouffées d’activité de haute fréquence que l’on observe durant la phase 2 du sommeil lent. | vrai |
Les cycles circadiens de l’alternance veille-sommeil sont synchronisés par la lumière du jour | vrai |
En plus des systèmes modulateurs ascendants, il existe des systèmes modulateurs descendants ayant une action sur les neurones moteurs. | vrai |
La chronobiologie est le champ de recherche qui s’intéresse aux rythmes biologiques | vrai |
Dormir est une activité énergivore | vrai |
L’activité des neurones est plus synchrone durant la phase 2 du sommeil lent que durant la phase 4. | faux |
L’épiphyse module la production de mélatonine | vrai |
La caféine a un effet agoniste à l’adénosine | faux |
En condition d’isolement temporel, un décalage des pics minimaux de température vers le début de la phase de sommeil est observé. | vrai |
Le somnambulisme est une parasomnie commençant à apparaître vers l’adolescence | faux |
Une nuit de sommeil comporte plusieurs cycles d’alternance entre sommeil lent et paradoxal | vrai |
Durant le premier pic de somnolence observée la nuit entre 3h et 6h, on observe une augmentation de la température corporelle | faux |
Quand un nouveau-né fait ses nuits, c’est que les rythmes circadiens d’alternance veille-sommeil sont en place. | vrai |
Les rêves sont possibles en dehors des périodes de sommeil paradoxal. | vrai |
Le locus cœruleus fait partie des systèmes modulateurs ascendants. | vrai |
L’insomnie chronique est souvent associée à des troubles psychiatriques. | vrai |
Le sommeil paradoxal est divisé en 4 phases. | faux |
Durant la phase de sommeil lent, plus le sommeil devient profond, plus les ondes EEG ont des amplitudes élevées. | vrai |
Le sommeil paradoxal est dit paradoxal, car l’activité cérébrale (EEG) est similaire à celle enregistrée durant la veille. | vrai |
Le syndrome d’apnée du sommeil est une pathologie du sommeil caractérisée par des arrêts respiratoires durant la nuit. | vrai |
Durant la phase de sommeil paradoxal, on observe une excitation des neurones moteurs. | faux |
L’attention est ce qui permet de mener l’information de la mémoire sensorielle à la mémoire de travail. | vrai |
L’amygdale est responsable de la mémorisation | faux |
Plusieurs régions cérébrales sont impliquées à la fois dans la mémoire, les émotions et la prise de décision. | vrai |
Suite à une lésion de l’hippocampe, la capacité de mémorisation est atteinte. | vrai |
Il est plus facile de mémoriser une information seule qu’une combinaison d’informations. | vrai |
La mémoire à court terme a un rôle spécifique pour les informations nouvelles. | faux |
L’humeur est une expérience émotionnelle de courte durée | faux |
La mémoire sensorielle est améliorée par la répétition et les émotions | faux |
La dépression est associée à une augmentation du débit sanguin dans l’amygdale. | vrai |
Mémoire à court terme et mémoire de travail sont synonymes | vrai |
L’aire septale libère des hormones dans le sang | faux |
L’irritabilité peut être un indice d’un début de démence | vrai |
Pour améliorer sa mémoire à long terme, le plus important est d’améliorer ses stratégies de mémorisation | vrai |
La mémoire émotionnelle est mature avant la mémoire autobiographique | vrai |
Il est possible de tester la mémoire d’une personne âgée en l’interrogeant sur des évènements de sa jeunesse. | faux |
Le noyau accumbens produit de l’acétylcholine qui est ensuite redistribué dans le cerveau | faux |
Le cortex orbitofrontal est impliqué dans la valence émotionnelle du regret. | vrai |
La mémorisation est un processus actif de consolidation des souvenirs les rendant moins vulnérables à l’oubli | vrai |
Les experts aux échecs ont une capacité de mémoire supérieure aux novices | faux |
Le sommeil et en particulier sa phase paradoxale (REM) permet d’améliorer la mémoire à court terme | faux |
Le sommeil favorise la consolidation et rend la mémoire moins susceptible aux interférences. | vrai |
Le système limbique participe à la régulation des fonctions viscérales. | vrai |
La partie antérieure du système limbique est plus particulièrement impliquée dans la mémoire. | faux |
Il est normal que la mémoire diminue avec l’âge | faux |
L’oubli est une capacité en soi | vrai |
Le dictionnaire est une bonne analogie du stockage des informations en mémoire à long terme. | faux |
Le noyau basal de Meynert est impliqué dans le niveau d’éveil | vrai |
La capacité à oublier est une capacité essentielle | vrai |
Selon la théorie des marqueurs somatiques (Damasio), les décisions sont séparées du traitement des émotions | faux |
La mémoire procédurale est une forme de mémoire sensorielle. | faux |
une amnésie antérograde affecte la mémoire à long terme | faux |
La mémoire de travail doit être distinguée de la mémoire à court terme | faux |
L’association d’idée contribue à améliorer les phases d’encodage et de restitution. | vrai |
Le MMSE et le Pecpa-2r sont des tests sensibles à des pertes de la mémoire à court terme. | vrai |
La mémoire sémantique permet de retenir environ 5 à 9 éléments | faux |
La mémoire procédurale nous permet d’expliquer les comportements à avoir pour, par exemple, faire du vélo. | faux |
Une amnésie rétrograde affecte indistinctement les mémoires anciennes et proches | faux |
La capitale de l’Australie, c’est une information de votre mémoire sémantique | vrai |
L’éveil physiologique (réponses motrices viscérales et somatiques) est lié à la mémoire sémantique. | faux |
Dans certaines situations, le cortex cérébral contribue à inhiber l’efficacité de certains réflexes. | vrai |
Le contrôle des mouvements de poursuite visuelle est assuré d’abord par le cortex visuel. | vrai |
Une lésion au centre du chiasma optique résulte en une perte de vision de la partie centrale du champ visuel. | faux |
Toute l’information afférente que reçoivent les noyaux vestibulaires du tronc cérébral provient du système vesitublaire. | faux |
Les nystagmus liés à une lésion du système nerveux périphérique sont souvent transitoires parce qu’il y a une adaptation du système nerveux central. | vrai |
Le réflexe optocinétique s’active lors de mouvements rapides de la tête | faux |
L’intégrité de la voie vestibulo-cérébelleuse est importante pour le contrôle du gain du réflexe vestibulo-occulaire. | vrai |
Lorsque l’on se tient debout, la macula de l’utricule est en position verticale par rapport au sol. | faux |
La production de mvts oculaires normaux nécessitent 4types d’info : de l’info sur les mouvements de la tête, de l’info visuelle, de l’info proprioceptive sur le mvt des yeux et leur position et de l’info en lien avec la sélection d’une cible visuelle. | vrai |
L’information visuelle relayée par les collicules supérieurs est utilisée entre autres pour coordonner les mouvements oculaires avec les mouvements de la tête. | vrai |
Les aires corticales visuelles associatives sont impliquées dans la reconnaissance des formes, des grandeurs et des textures | faux |
Dans une certaine mesure, le système vestibulaire contribue au maintien de l’intégrité de l’image du corps | vrai |
Les signes cliniques liés à une lésion centrale du système vestibulaire sont souvent associés à l’atteinte d’autres fonctions | vrai |
Le système vestibulaire n’est essentiel que pour le contrôle postural. | faux |
Le gain du réflexe vestibulo-oculaire est contrôlé par le cortex cérébral. | faux |
Lors de la manœuvre de Hallpike, on s’attend à ce que la personne ressente des étourdissements à cause de la présence de cristaux dans les canaux semi-circulaires des deux oreilles. | faux |
Lors de la manœuvre de Hallpike, on s’attend à ce que la personne ressente des étourdissements à cause de la présence de cristaux dans les canaux semi-circulaires des deux oreilles. | faux |
La saccade est le mouvement des yeux qui permet de rapidement déplacer le regard d’un endroit à un autre. | vrai |
La perception de la décélération d’un ascenseur est réalisée grâce aux signaux nerveux transmis pas l’utricule. | faux |
La transformation du signal lumineux en message nerveux se fait au niveau de la rétine, par l’entremise de cellules spécialisées. | vrai |
Les neurones du cortex visuel primaire sont activés par des caractéristiques très distinctes de la scène visuelle | vrai |
Le déplacement des yeux vers sa droite constitue un mouvement conjugué | vrai |
Une lésion du faisceau longitudinal médian affecte la coordination des mouvements des deux yeux et des mouvements de la tête. | vrai |
Dans le mal des transports, c’est le conflit entre l’information vestibulaire et l’information de la vision centrale qui cause les nausées. | faux |
L’activation des cellules ciliées d’un seul canal semi-circulaire permet la détection des mouvements de la tête. | faux |
Par ses connexions avec le noyau vestibulaire, le nerf accessoire contribue au contrôle des mouvements orientés de la tête | vrai |
Une lésion du nerf optique droit entraîne une perte de vision complète de l’hémichamp gauche | faux |
L’information visuelle transmise dans le cortex cérébral par la voie ventrale est utilisée pour ajuster les mouvements | faux |
L’information sensorielle en provenance du canal semi-circulaire horizontal est transmise principalement au noyau du nerf trochléaire pour assurer l’efficacité du réflexe vestibulo-occulaire. | faux |
Des troubles vestibulaires associés à une perte d’audition sont généralement le signe d’une lésion centrale. | faux |
Les cellules de la rétine de l’œil droit situées près du nez, transmettent l’information visuelle sur l’hémichamp controlatéral. | faux |
Seules les projections du système vestibulaires vers les noyaux des nerfs crâniens III, IV et VI sont nécessaires pour le contrôle des yeux et de la tête | faux |
Le contrôle volontaire des saccades s’effectue sous le contrôle entier des centres du tronc cérébral. | faux |
Comme pour l’audition, la transmission nerveuse en provenance des organes vestibulaires est le résultat de la transduction d’un signal mécanique en signal électrique | vrai |
La fovéa est la partie de l’œil responsable de l’acuité visuelle. | vrai |
On s’attend d’une personne avec une lésion de la voie visuelle dorsale qu’elle puisse saisir un objet sans ne pouvoir l’identifier. | faux |
Fixer une nouvelle cible visuelle dans l’environnement avec déplacement de la tête nécessite l’inhibition du réflexe vestibulo-occulaire | vrai |
La saccule détecte les accélérations verticales du corps | vrai |
Les fibres nerveuses qui émergent de l’œil gauche et qui atteignent l’hémisphère droit croisent au niveau du corps genouillé latéral. | faux |
Une personne a une atteinte du système visuelle qui l’empêche d’avoir conscience de la présence d’un objet mais elle demeure capable de pointer celui-ci lorsqu’on lui demande. On peut suspecter une atteinte des collicules supérieurs. | faux |
La détermination du sens de rotation de la tête repose sur la comparaison de la fréquence de décharge des cellules ciliées de canaux semi-circulaires situés d’un même côté de la tête. | faux |
Les récepteurs dans les canaux semi-circulaires ne sont sensibles qu’aux mouvements de rotation de la tête. | vrai |
Les voies vestibulospinales sont impliquées dans le maintien de la posture | vrai |
L’efficacité du réflexe optocinétique dépend du bon fonctionnement des canaux-semicirculaires | faux |
Un dérèglement du système vestibulaire peut affecter certaines fonctions autonomes. | vrai |
La vision consciente dépend de l’information visuelle qui atteint le cortex visuel primaire | vrai |
Une personne lit le journal et déplace son regard vers quelqu’un qui entre au loin dans la pièce. Dans cette situation les yeux effectueront un mouvement de vergence. | vrai |
Les signes classiques d’une atteinte vestibulaire associés au syndrome d’Horner laissent présager que l’atteinte est corticale | faux |
L’ampoule et la saccule sont les deux organes otholitiques. | faux |
Lors de mouvements lents de la tête, le réflexe vestibulo-oculaire permet de stabiliser le regard. | faux |
L’information sensorielle transmise par les canaux semi-circulaires est codée par la fréquence de décharge des cellules ciliées. | vrai |
Une lésion corticale peut entraîner la cécité. | vrai |
Les « basket cells » sont des interneurones inhibiteurs situés dans la couche granulaire du cortex cérébelleux. | faux |
Le contrôle inhibiteur joue un rôle primordial dans le générateur central de patron | vrai |
Les fonctions atteintes lors d’une lésion cérébelleuse dépendent du site de la lésion dans le cervelet | vrai |
L’ajustement postural anticipateur est sous le contrôle du spinocervelet. | faux |
Les neurones du noyau fastigial projettent vers le cortex cérébral | faux |
La dysarthrie s’observe entre autres à la suite d’une lésion du paravermis et du cérébrocervelet | vrai |
Le pourcentage de neurones retrouvés dans le cervelet sur l’ensemble du système nerveux est proportionnel au volume que le cervelet occupe. | faux |
La production de mouvements d’atteintes et de préhension est sous le contrôle unique du cortex cérébral. | faux |
Le vermis et le paravermis forment le spinocervelet | vrai |
Le réflexe d’extension croisée se traduit par une flexion du membre stimulé et une extension du membre opposé | vrai |
La moelle épinière peut contribuer à l’intégration des informations sensorielles et centrales dans le contrôle des mouvements | vrai |
Certains réflexes posturaux permettent de tester l’intégrité du système nerveux central. | vrai |
L’orientation et l’équilibre sont les deux éléments clés assurés par le contrôle postural vers le cortex cérébelleux | vrai |
Les fibres moussues transmettent l’information de la moelle épinière et du tronc cérébral vers le cortex cérébelleux. | vrai |
Le lobe flocculonodulaire envoie des efférences directement à l’extérieur du cervelet, sans passer par les noyaux profonds du cervelet. | vrai |
Un des rôles principaux du cervelet est de comparer l’intention du mouvement à réaliser et le mouvement réellement produit. | vrai |
Le maintien de la posture ne s’opère que sur la base d’un mode de contrôle par feedback | faux |
La maturation du système nerveux entraîne la disparition de certains réflexes qui sont normaux chez le nourrisson. | vrai |
La coordination des muscles utilisés pour la marche repose uniquement sur l’activation des circuits de la moelle épinière. | faux |
Les cellules de Purkinje forment la seule voie de sortie du cortex cérébelleux | vrai |
L’information visuelle nécessaire à la bonne exécution des mouvements d’atteinte et de saisies d’objet est traitée dans la partie dorsale du cortex cérébral. | vrai |
Toutes les cellules de Purkinje projettent vers l’un des noyaux profond du cervelet | faux |
Une perturbation du sens de la vibration ou une atteinte de certains réflexes sont souvent des signes d’ataxie cérébelleuse | faux |
L’adiadococinésie se caractérise par un manque de contrôle de la longueur des mouvements | faux |
Une lésion au cervelet n’affecte que très légèrement la capacité d’adapter ses mouvements à un nouvel environnement sensorimoteur | faux |
L’activité des hémisphères latéraux du cervelet est associée à la coordination des mouvements des membres supérieurs | vrai |
L’activité des neurones du noyau dentelé est intimement liée au contrôle de la motricité fine | vrai |
Lors de la perturbation d’un mouvement, l’ajustement de l’activité musculaire se fait uniquement par l’intégration de l’information sensorielle au niveau du cortex cérébral. | faux |
Les efférences du spinocervelet projettent toutes vers le même noyau cérébelleux profond. | faux |
Les fibres nerveuses qui transitent via les pédoncules cérébelleux supérieurs projettent uniquement vers le cortex cérébral. | vrai |
Une personne démontre de la difficulté à atteindre correctement une cible située devant elle avec sa main gauche. On peut suspecter une lésion de l’hémisphère cérébelleux droit. | faux |
La programmation de la commande motrice des mouvements d’atteintes et de saisies repose sur l’intégration de l’information sensorielle de différente modalité. | vrai |
On retrouve la matière grise dans la partie centrale du cervelet. | faux |
Dans un test de posturographie, une personne avec lésion au système vestibulai est debout. L’enviro visuel et la plateforme sur laquelle elle se tient suivent le balancement normal du corps. Dans ce contexte, on doit s’attendre a ce que la personne tombe. | vrai |
Les canaux semi-circulaires envoient de l’information vers le lobe flocculonodulaire. | vrai |
L’ataxie se caractérise notamment par des mouvements volontaires saccadés et imprécis et une diminution de la force musculaire. | faux |
L’axone d’une cellule granulaire contacte plusieurs milliers de cellules de Purkinje. | vrai |
Le lobe flocculonodulaire est situé sur la face dorsale du cervelet | faux |
Le maintien de la posture repose sur l’intégration de l’information visuelle, proprioceptive et vestibulaire. | vrai |
Les mouvements d’atteintes et de saisie d’objet reposent sur un contrôle par « feedback» dans la première partie du mouvement et par « feedforward » dans la dernière partie du mouvement. | faux |
Toutes les ataxies sont liées à une lésion du cervelet | faux |
Les fibres nerveuses qui transitent via les pédoncules cérébelleux inférieurs transmettent uniquement de l’information en provenance du tronc cérébral et de la moelle épinière vers le cervelet. | faux |
Le cortex cérébral contribue de façon importante au contrôle de la cheville pendant la marche. | vrai |
La contraction des muscles gastrocnémiens observée lorsque l’on tend le bras vers l’avant illustre bien le contrôle par « feedback » de la posture. | faux |
La rotation du cou entraine une flexion des membres du côté où pointe le nez et une extension des membres du côté opposé lors de certaines atteintes du système nerveux central chez l’enfant et l’adulte. | faux |
L’ataxie est une conséquence commune à toutes les lésions cérébrelleuses. | vrai |
Le vestibulocervelet est impliqué dans le contrôle des mouvements occulaires. | vrai |
Les fibres grimpantes établissent plusieurs contacts synaptiques avec une seule cellule granulaire. | faux |
Les fibres proprioceptives assistent le contrôle des mouvements, notamment par l’activation de boucles réflexes. | vrai |
Le nystagmus peut survenir à la suite d’une lésion du lobe flocculonodulaire. | vrai |
La dysmétrie se caractérise par une incapacité à contrôler la longueur des mouvements. | vrai |
La vision permet de maintenir un contrôle postural adéquat dans l’ataxie cérébelleuse | faux |
La dégénérescence de la substance noire est à l’origine de la physiopathologie de la Maladie de Parkinson. | vrai |
La Maladie de Parkinson est d’origine congénitale. | faux |
La dopamine peut difficilement être remplacée. | vrai |
Les noyaux gris centraux sont constitués de deux structures. | faux |
Le traitement de la Maladie de Parkinson est principalement médicamenteux, mais la chirurgie peut aider certains patients. | vrai |
Il n’y a pas de neurotransmetteur dans les noyaux gris centraux | vrai |
Les noyaux gris centraux s’occupent seulement de la mémoire. | faux |
Les noyaux gris centraux envoient de l’information directement et seulement à la moelle épinière. | faux |
La dopamine est le seul neurotransmetteur impliqué dans les noyaux gris centraux. | faux |
L’atrophie de la substance noire se voit à l’autopsie des patients. | vrai |
Il n’y a pas de traitement pour la Maladie de Parkinson. | faux |
Le thalamus est atrophique dans la Maladie de Parkinson. | faux |
La dopamine est produite par le thalamus. | faux |
Les troubles de la motricité peuvent être hyper ou hypokinétiques. | vrai |
Un dysfonctionnement des noyaux gris centraux n’entraîne aucune répercussion sur la motricité | faux |
Le thalamus est la voie d’entrée des noyaux gris centraux. | faux |
La voie d’entrée théorique des noyaux gris centraux est n’importe quelle des structures composant les noyaux gris centraux. | faux |
L’étiologie exacte de la Maladie de Parkinson est imprécise mais plusieurs facteurs on été mis en cause dont la génétique, et certaines toxines environnementales. | vrai |
Le noyau caudé et le putamen constituent l’entrée principale théorique des noyaux gris centraux. | vrai |
La chirurgie ne guérit pas la Maladie de Parkinson. | vrai |
Il n'existe pas de thérapie pour remplacer la substance noire. | vrai |
La dopamine est un neurotransmetteur important dans la « circuiterie » des noyaux gris centraux mais n’est pas le seul. | vrai |
La Maladie de Parkinson est une maladie héréditaire rare. | faux |
Il y a un surplus de dopamine dans la Maladie de Parkinson. | faux |
La Maladie de Parkinson est causée par une excroissance de la substance noire. | faux |
La Maladie de Parkinson est la maladie neurodégénérative la plus fréquente après la Maladie d’Alzheimer. (La maladie de Parkinson se situe donc au second rang) | vrai |
Les noyaux gris centraux ont un rôle important dans l’élaboration des mouvements. | vrai |
Il y a plusieurs voies dites directes dans les noyaux gris centraux. | vrai |
Les noyaux gris centraux envoient directement de l’information à tous les lobes cérébraux. | faux |
Le manque de dopamine est à l’origine d’un débalancement des voies directes et indirectes de communication dans les noyaux gris centraux | vrai |
Les noyaux gris centraux ont un rôle non pas seulement dans la motricité mais aussi dans l’humeur et les fonctions cérébrales supérieures. | vrai |
Les tremblements sont une manifestation hyperkinétique. | vrai |
Les noyaux gris centraux comprennent le thalamus. | faux |
Le thalamus est la voie de sortie principale des noyaux gris centraux. | vrai |
Les noyaux gris centraux sont faits de substance grise. | vrai |
Les troubles de la motricité n’ont aucune conséquence sur la vie quotidienne des patients. | faux |
Le manque de dopamine n’a pas de répercussion sur le fonctionnement des noyaux gris centraux. | faux |
La dopamine n’est pas importante dans les noyaux gris centraux. | faux |
La Maladie de Parkinson est surement causée par une atteinte virale. | faux |
Le modèle schématique du fonctionnement des noyaux gris centraux n’est jamais remis en question. | faux |
La Maladie de Parkinson est une maladie vasculaire. | faux |
Les noyaux gris centraux sont composés de 5 structures qui sont : le noyau caudé, le putamen, le globus pallidus, le noyau sous-thalamique et la substance noire | vrai |
Les noyaux gris centraux ne sont pas impliqués dans les maladies de troubles du mouvement. | faux |
Une hémiplégie affectant le membre inférieur signe une atteinte de l’artère cérébrale postérieure. | faux |
L’anosognosie survient habituellement suite à une atteinte frontale. | faux |
L’artère cérébrale antérieure est le plus souvent touchée de façon isolée. | faux |
L’œdème cérébral se résorbe au cours de la deuxième semaine post-AVC. | vrai |
Un AVC subarachnoïde est nécessairement hémoragique. | faux |
L’anosognosie est une incapacité à reconnaitre comme sien une partie de son corps. | faux |
Un AVC embolique est une forme d’AVC ischémique. | vrai |
La plupart des AVC sont ischémiques. | vrai |
Une atteinte de l’artère sylvienne affecte les lobes temporaux, frontaux et pariétaux | vrai |
Le polygone de Willis est un système d’anastomose convoyant le sang du cerveau vers le cœur. | faux |
L’œdème cérébral est maximal au 4e jour post-AVC. | vrai |
Une ICT n’entraîne pas de perte de fonction durable | vrai |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des intensités lumineuses. | vrai |
Une asomatognosie peut survenir suite à une lésion pariétale gauche. | vrai |
La prosopagnosie est l’agnosie des visages. | vrai |
Un AVC est une perte progressive de la fonction cérébrale. | faux |
Un AVC durant moins de 24h est appelé AVC transitoire. | faux |
L’asomatognosie survient généralement suite à une lésion préfrontale droite. | faux |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des objets. | vrai |
La pénombre est la zone morte au pourtour de la lésion. | faux |
Une atteinte de l’artère cérébrale antérieure superficielle entraîne une prosopagnosie. | faux |
Une atteinte de l’artère cérébrale postérieure superficielle entraîne un état confusionnel. | vrai |
L’asomatognosie survient habituellement comme une composante du syndrome d’Anton-Babinski. | vrai |
Un AVC ischémique est caractérisé par une rupture d’un vaisseau sanguin à l’intérieur du cerveau. | faux |
Une atteinte de l’artère cérébrale postérieure superficielle entraîne une hémianopsie latérale homonyme. | vrai |
L’athérosclérose est un durcissement des artères augmentant leur diamètre. | faux |
L’asomatognosie est une incapacité à reconnaitre un déficit majeur (ex. : cécité, hémiplégie). | faux |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des couleurs. | faux |
La résorption de l’œdème cérébral est responsable d’une certaine récupération. | vrai |
Les AVC lacunaires produisent des lésions très spécifiques. | vrai |
La découverte de neurones miroirs chez le macaque a eu des répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. Cette découverte a fourni un mécanisme explicatif aux théories motrices de la parole qui postulaient un lien entre perception et | vrai |
Le contrôle moteur de la parole comprend trois étapes : Respiration, Phonation et Articulation. | faux |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par sa modularité et son isolement des autres fonctions cognitives et sensorimotrices. | faux |
Dans l'effet McGurk, un son complètement différent, imprévisible, est perçu reflétant la confusion du système nerveux face à une information sensorielle conflictuelle. | faux |
Les messages transmis par la voix sont perçus et traités par le système nerveux central. La perception de la parole est discrète alors que la parole est un flot continu. | vrai |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par :La participation des boucles de contrôle motrices impliquant les noyaux gris centraux, le cervelet, le thalamus et le cortex dans le contrôle de la production du langage. | vrai |
Le contrôle moteur de la parole comprend trois étapes : Phonation, Articulation, Résonance | faux |
Ainsi nommée d’après le chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. Des études récentes montrent que les troubles moteurs de l’articulation (apraxie) sont liés à des lésions de l’aire de Broca | faux |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche. Certaines fonctions langagières (p.ex. la pragmatique) sont principalement localisées dans l’hémisphère droit. | vrai |
La découverte de neurones miroirs chez le macaque a eu des répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. L’information articulatoire peut être utilisée pour reconnaître des sons ambigus. | vrai |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Les patients décrits par Paul Broca au 19e siècle avaient des lésions à l’aire de Broca qui s’étendaient jusqu’au cortex insulaire. | vrai |
La parole est généralement produite durant la phase inspiratoire du cycle respiratoire. | faux |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche. Certaines fonctions langagières, tels que les fonctions sensorimotrices, sont localisées dans les deux hémisphères (représentation bilatérale). | vrai |
La découverte de neurones miroirs chez le macaque a eu des répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. Cela a confirmé que le cerveau du macaque n’est pas un modèle adéquat pour l’étude du langage. | faux |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par l’utilisation de mécanismes cognitifs, perceptuels et sensorimoteurs généraux. | vrai |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Le contrôle moteur de la parole repose sur l’utilisation des rétroactions somatosensorielles, auditives et proprioceptives. | vrai |
Le contrôle moteur de la parole comprend deux étapes : Phonation et Articulation | faux |
La découverte de neurones miroirs chez le macaque a eu des répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. On a découvert que certaines aires prémotrices sont impliquées durant la perception et la production de la parole. | vrai |
Dans l'effet McGurk, le signal audio est ignoré, et un /ga/ sera perçu démontrant la prépondérance de l’information visuelle dans la perception de la parole | faux |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche. Les troubles du langage et de la parole sont plus souvent associés à des lésions dans l’hémisphère gauche que dans l’hémisphère droit. | vrai |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche. Toutes les fonctions langagières sont localisées dans les deux hémisphères, ce qui permet plus de résistance aux dommages cérébraux causés notamment par les AVC. | faux |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Toutefois, seulement les signaux auditifs et visuels sont traités. | faux |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Le cortex insulaire contribue, avec plusieurs autres aires comme le cortex prémoteur, et moteur supplémentaire, à la planification motrice de la parole. | vrai |
Les messages transmis par la voix sont perçus et traités par le système nerveux central.La perception de la parole repose sur la capacité à reconnaître des sons chez différents locuteurs malgré des variations acoustiques importantes (p.ex. le son /a/ n’es | vrai |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Les troubles de l’articulation comme l’aphasie de Wernicke impliquent souvent une lésion du cortex insulaire. | faux |
Ainsi nommée d’après le chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. L’aire de Broca est composée de trois parties : operculaire, triangulaire et orbitale. | faux |
Ainsi nommée d’après le chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. L’aire de Broca est une aire fonctionnellement hétérogène. | vrai |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par l’utilisation d’un réseau cortical et sous-cortical largement distribué à travers le cerveau. | vrai |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Les signaux de rétroaction les plus importants pour le contrôle de la parole sont les rétroactions somatosensorielles. | faux |
Dans l'effet McGurk, un son mitoyen (/da/) est perçu reflétant l’intégration des signaux audio et visuels. | vrai |
Les inspirations sont plus courtes lors de la production de la parole. | faux |
Ainsi nommée d’après le chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. L’aire de Broca est une aire motrice agranulaire. | faux |
La parole est généralement produite durant la phase expiratoire du cycle respiratoire. | vrai |
Les messages transmis par la voix sont perçus et traités par le système nerveux central. La perception de la parole repose sur les capacités d’attention soutenue et divisée. | vrai |
Le cycle respiratoire n’est pas modifié de manière importante durant la production de la parole. | faux |
Le contrôle moteur de la parole comprend quatre étapes : Respiration, Phonation, Articulation et Résonance. | vrai |
Les messages transmis par la voix sont perçus et traités par le système nerveux central. La syllabe est le plus petit élément porteur de sens qui est traité par le système linguistique. | faux |
L'étirement des cordes vocales durant la phonation permet de produire des sons plus aigus. | vrai |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Le cortex insulaire est impliqué dans le contrôle moteur de la parole. | vrai |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Seulement les signaux de rétroaction auditifs sont utilisés pour contrôler la parole. | faux |
Le premier stimulateur utilisé sur l’homme était une anguille. | faux |
Le premier stimulateur utilisé sur l’homme était une raie. | vrai |
Le premier stimulateur utilisé sur l’homme était une sangsue. | faux |
La TMS permet d’établir des liens de causalités entre le comportement et le cerveau. | vrai |
La TMS ne permet pas d’établir des liens de causalités entre le comportement et le cerveau | faux |
La TMS permet d’établir des liens d’association entre le comportement et le cerveau. | vrai |
TMS signifie en français Stimulation Mécanique Transcutanée | faux |
TMS signifie en français Simulation Magnétique Transitoire. | faux |
TMS signifie en français Stimulation Magnétique Transcrânienne. | vrai |
MEP signifie en français Pulsation Electro Magnétique. | faux |
MEP signifie en français Potentiel Evoqué Moteur. | vrai |
MEP signifie en français Potentiel Evoqué Manuel. | faux |
Pour enregistrer un MEP, nous avons besoin d’un EMG. | vrai |
Pour enregistrer un MEP, nous avons besoin d’un EEG. | faux |
Pour enregistrer un MEP, nous avons besoin d’un ECG. | faux |
La région cérébrale ciblée avec la TMS pour induire un MEP est le cortex M1. | vrai |
La région cérébrale ciblée avec la TMS pour induire un MEP est le cortex V1. | faux |
La région cérébrale ciblée avec la TMS pour induire un MEP est le cortex V2. | faux |
L’amplitude d’un MEP peut être modulée par ce que la personne regarde au moment de la TMS. | vrai |
L’amplitude d’un MEP est constante peu importe ce que la personne fait au moment de la TMS | faux |
L’amplitude d’un MEP peut être modulée par ce que la personne pense au moment de la TMS | vrai |
La rTMS permet d’induire des lésions virtuelles. | vrai |
La rTMS permet d’induire des lésions naturelles. | faux |
La rTMS permet d’induire des lésions occasionnelles | faux |
On peut moduler de façon non invasive le cerveau avec de l’eau | faux |
On peut moduler de façon non invasive le cerveau avec de la lumière | vrai |
On peut moduler de façon non invasive le cerveau avec des ultrasons | vrai |
La TMS est une technique non invasive. | vrai |
La TMS est une technique invasive. | faux |
La TMS est une technique minimalement invasive. | faux |
La rTMS permet d’augmenter l’excitabilité corticale. | vrai |
La rTMS permet de diminuer l’excitabilité corticale. | vrai |
La rTMS permet uniquement d’augmenter l’excitabilité corticale. | faux |
Les effets de la rTMS sont transitoires | vrai |
Les effets de la rTMS sont permanents | faux |
Les effets de la rTMS sont uniquement concomitants à la TMS. | faux |
La rTMS permet d’améliorer les comportements. | vrai |
La rTMS permet de détériorer les comportements | vrai |
La rTMS ne permet pas de moduler les fonctions langagières. | faux |
La rTMS ne permet pas de moduler l’humeur. | faux |
La tDCS ne permet pas d’améliorer des fonctions cognitives déficitaires chez des patients. | faux |
La rTMS permet d’améliorer des fonctions cognitives déficitaires chez des patients. | vrai |
La rTMS est approuvée par les autorités de santé comme traitement de la dépression résistante. | vrai |
La rTMS est approuvée par les autorités de santé comme traitement des pathologies neuropsychiatriques. | faux |
La rTMS est approuvée par les autorités de santé comme traitement de l’aphasie. | faux |
La rTMS peut moduler de manière différente le cerveau des personnes malades et saines. | vrai |
La rTMS ne peut pas moduler de manière différente le cerveau des personnes malades et saines. | faux |
La TMS permet de révéler les effets de la rTMS. | vrai |
Les lignes directrices de sécurité prennent en compte plusieurs paramètres de TMS comme l’intensité et la fréquence. | vrai |
Les lignes directrices de sécurité ne prennent en compte que la fréquence. | faux |
Les lignes directrices de sécurité prennent en compte plusieurs paramètres de TMS comme l’intensité et le nombre total de pulse. | vrai |
Il faut obtenir une approbation d’un comité d’éthique avant de commencer une étude de rTMS. | vrai |
L’approbation d’un comité d’éthique est facultative quand une étude de rTMS est proposée à des patients. | faux |
L’approbation d’un comité d’éthique est recommandée quand une étude de rTMS est proposée à des volontaires sains. | faux |
Les effets de la TMS passent par la modulation d’un neurone. | faux |
Les effets de la TMS passent par la modulation d’une population de neurones. | vrai |
Les effets de la TMS passent par la modulation d’un vaste réseau cérébral. | vrai |
Les effets de la TMS se mesurent uniquement au niveau de la main | faux |
Les effets de la TMS peuvent se mesurer au niveau des muscles de la main. | vrai |
Les effets de la TMS peuvent se mesurer au niveau des muscles du visage. | vrai |
Trois des modèles théoriques proposés pour expliquer l’amélioration paradoxale sont la résonance stochastique, l’entrainement et la théorie de la somme nulle. | vrai |
Trois des modèles théoriques proposés pour expliquer l’amélioration paradoxale sont la résonance probabiliste, l’entrainement et la théorie de la somme nulle. | faux |
Trois des modèles théoriques proposés pour expliquer l’amélioration paradoxale sont la résonance stochastique, l’entre aide et la théorie de la somme nulle. | faux |
Le principe de la tDCS utilise un courant continu | vrai |
Le principe de la tDCS utilise un courant alternatif. | faux |
Le principe de la tDCS utilise un courant oscillatoire unidirectionnel direct. | faux |
La cathode est négative. | vrai |
La cathode est positive. | faux |
La cathode est neutre. | faux |
L’anode permet d’augmenter l’excitabilité corticale motrice. | vrai |
L’anode permet de diminuer l’excitabilité corticale motrice. | vrai |
La cathode permet de diminuer l’excitabilité corticale motrice. | vrai |
La tDCS est approuvée par les autorités de santé pour le traitement de la dépression | faux |
La tDCS est approuvée par les autorités de santé pour la réhabilitation motrice après un accident vasculaire cérébral. | faux |
L’utilisation de la tDCS n’est pas approuvée par les autorités de santé. | vrai |
tDCS signifie en français stimulation transcutanée en courant continu | faux |
tDCS signifie en français stimulation transcrânienne en courant continu. | vrai |
Afin de localiser le site de stimulation, nous pouvons utiliser une imagerie par résonance magnétique. | vrai |
Afin de localiser le site de stimulation, nous pouvons utiliser le système électroencéphalographique. | vrai |
Afin de localiser le site de stimulation, nous pouvons utiliser le système électromyographique. | faux |
La tDCS permet de moduler les fonctions motrices | vrai |
La tDCS permet de moduler les fonctions cognitives de haut niveau. | vrai |
La tDCS cérébrale permet uniquement de moduler les fonctions cognitives de bas niveau. | faux |
La tDCS placebo est une condition contrôle recommandée | vrai |
La tDCS placebo n’est pas possible. | faux |
La tDCS placebo est une condition contrôle obligatoire | faux |
Le calcul de la Pression de Perfusion Cérébrale est importante dans le traitement de l’hypertension intracrânienne | vrai |
L’hématome épidural n’est jamais dangereux | faux |
La majorité des TCC sont sévères | faux |
L’hématome sous-dural est situé entre la dure-mère et l’os du crâne | faux |
L’hématome sous-dural est une pathologie fréquente chez les gens âgés, dû à l’atrophie cérébrale | vrai |
L’hématome sous-dural est plus fréquent chez le jeune adulte dans la vingtaine | faux |
Aucune recommandaion spéciale n’existe dans la littérature médicale sur le retour aux activités sportives après une commotion cérébrale | faux |
L’évaluation neurologique précise est importante pour le suivi | vrai |
Les hématomes épiduraux sont généralement associés à des fractures du crâne | vrai |
Les hématomes épiduraux sont situés entre la dure-mère et le cerveau | faux |
Le Syndrome de l’enfant secoué n’a jamais de conséquence | faux |
Les hématomes épiduraux ont toujours un bon pronostic | faux |
L’engagement de l’uncus du lobe temporal provoque une dilatation pupillaire | vrai |
La dilatation pupillaire est un signe d’urgence à agir | vrai |
L’engagement du lobe temporal n’a aucune conséquence | faux |
Il n’y a aucun danger à renvoyer sur le terrain un excellent quart-arrière au cours d'une même partie après qu'il ait subi une commotion cérébrale | faux |
Il y a des effets cumulatifs des commotions cérébrales | vrai |
Opérer un volumineux hématome épidural n’est pas urgent | faux |
La commotion cérébrale peut être définie comme étant toute altération de l’état de conscience | vrai |
Les hommes sont plus souvent touchées que les femmes par des TCC dans des accident de la route ou accident de travail | vrai |
Le retour aux activités sportives après une commotion cérébrale nécessite l’absence de symptômes résiduels avec un retour progressif aux activités sous supervision | vrai |
Il faut absolument perdre connaissance pour porter un diagnostic de commotion cérébrale | faux |
L’hématome épidural est une hémorragie dans le cerveau | faux |
La justice n’intervient jamais dans les cas d’enfant secoué | faux |
L’évaluation de l’état neurologique se fait par l’échelle de Glasgow | vrai |
Il existe des traitements pour prévenir les lésions secondaires au TCC | vrai |
L’hématome sous-dural n’est jamais dangereux | faux |
L’évaluation neurologique se fait par des termes subjectifs seulement | faux |
Le monitoring de la pression intracrânienne fait partie du traitement du TCC sévère aux soins intensifs | vrai |
Le monitoring de la pression intracrânienne nécessite une chirurgie majeure | faux |
Une seconde commotion cérébrale immédiatement après une première est sans danger | faux |
L’engagement du lobe temporal n’atteint pas le tronc cérébral | faux |
Les accidents de la route sont la cause majeure de TCC sévères et de mortalité chez les moins de 45 ans | vrai |
Une fracture de l’écaille temporale est à l’origine classique de l’hématome épidural par déchirure de l’artère méningée moyenne | vrai |
Le Syndrome de l’enfant secoué n’entraîne jamais d’hémorragie intracrânienne | faux |
Le « Syndrome de l’enfant secoué » peut se présenter avec des hématomes sous-duraux et d’autres signes classiques | vrai |
Les conséquences des TCC sévères n’ont pas d’impact sur la vie personnelle, familiale et la société | faux |
Les hématomes épiduraux de bon volume doivent être opérés rapidement en urgence | vrai |
Un joueur de hockey qui a toujours ces céphalées post-commotion cérébrale peut retourner au sport contact | faux |