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Neuroscience exam 2
Question | Answer |
---|---|
L’homonculus de Penfield c’est la représentation somatotopique motrice du corps. | Vrai |
Le réflexe d’étirement phasique aide au maintien de la posture (rôle antigravitaire). | Vrai |
Pour bouger dans 3 plans de mouvements, il faut en théorie au minimum 6 muscles. | Faux |
Les corps cellulaires des motoneurones supérieurs du faisceau latéral innervent surtout les muscles du tronc. | Faux |
Une synergie, d’un point de vue clinique, c’est l’activation involontaire de muscles associés à certains mouvements. | Vrai |
Un générateur de patron central permet de simplifier le contrôle de mouvements rythmiques tels que la marche. | Vrai |
Le faisceau latéral descend dans la colonne postérieure de la moelle épinière. | Faux |
Pour bouger dans 3 plans de mouvements, il faut en théorie au minimum 3 muscles. | Faux |
Les commandes descendantes projettent uniquement sur les motoneurones (alpha et gamma). | Faux |
Les corps cellulaires des motoneurones situés en latéral innervent la musculature distale. | Vrai |
Les copies d’efférence expliqueraient l’augmentation de sensibilité somatosensorielle pendant le mouvement. | Faux |
Les motoneurones de petite taille sont moins excitables que les motoneurones de grande taille. | Faux |
Le réflexe de retrait se traduit par une activation des muscles extenseurs contralatéraux à la stimulation afin d’éloigner le membre d’un stimulus nociceptif. | Faux |
Un circuit réverbérant permet une amplification spatiale. | Faux |
Les fibres extrafusales de type I (lente) ont une réponse phasique. | Faux |
Les faisceaux médial et latéral sont constitués de plusieurs voies distinctes, incluant la voie corticomotoneuronale (corticospinale). | Vrai |
Le concept d’unité motrice ne s’applique pas aux motoneurones gamma. | Vrai |
Les réflexes sont des réponses motrices involontaires identiques pour des stimuli sensoriels identiques. | Faux |
La représentation motrice corticale n’est pas à l’échelle, en particulier main et visage sont surreprésentés. | Vrai |
Les corps cellulaires des motoneurones sont organisés par groupe (pool) occupant une sous-partie d’un segment spinal unique. | Faux |
Une articulation contenant permettant 3 degrés de liberté et étant entouré de 4 muscles se trouve dans une situation d'abondance (ou redondance) musculaire. | Faux |
Le réflexe d’étirement phasique ne s’observe normalement pas chez un adulte sans atteinte neurologique. | Faux |
Chaque mouvement peut se comprendre comme une combinaison simple d’un petit nombre de synergies. | Vrai |
Les fibres motrices à contraction lente (type 1) se trouvent en grande concentration dans les muscles posturaux tels que le soléaire. | Vrai |
La copie d’efférences et le feedback sensoriel sont intimement lié lors d’un apprentissage moteur. | Vrai |
Une unité motrice, c’est un ensemble composé d’un motoneurone et des fibres musculaires extrafusales que ce motoneurone innerve. | Vrai |
Les motoneurones dit inférieurs sont les seuls à activer les muscles directement. | Vrai |
Les commandes descendantes projettent uniquement sur les motoneurones alpha. | Faux |
Le principe de Henneman permet de choisir automatiquement la fréquence de décharge de chaque unité motrice en fonction de l’intensité de la commande descendante. | Vrai |
Une lésion des voies corticomotoneuronales (corticospinales) au niveau de la capsule interne produit toujours un déficit controlatéral. | Vrai |
Les corps cellulaires des motoneurones situés en postérieur innervent surtout les fléchisseurs. | Vrai |
Lors de mouvements très rapides, la rétroaction sensorielle ne permet pas de corriger le mouvement une fois qu'il est débuté. | Vrai |
Les fibres musculaires ont des caractéristiques qui dépendent du type de motoneurone qui les innerve. | Vrai |
Le saut à ski est un exemple de contrôle moteur feedback. | Faux |
Une synergie, d’un point de vue théorique, c’est une activation de plusieurs muscles dans des proportions identiques. | Vrai |
La diminution de la force suite à un AVC contribue davantage aux incapacités que l’augmentation de la spasticité. | Vrai |
Dans la moelle épinière, il y a à peu près 30% plus d’interneurones que de motoneurones. | Faux |
Les commandes descendantes projettent à la fois sur les motoneurones et des interneurones. | Vrai |
Les motoneurones de petite taille sont plus excitables que les motoneurones de grande taille. | Vrai |
Les corps cellulaires des motoneurones situés en antérieur innervent surtout les extenseurs. | Vrai |
La décharge des motoneurones gamma permettent d'éviter qu'une tension trop grande soit imposée aux fibres intrafusales. | Faux |
Lors d’une lésion de la moelle épinière, les réflexes spinaux sont souvent diminués en raison de l’interruption des afférences de motoneurones supérieurs. | Faux |
Les unités motrices lentes sont les plus fatigables. | Faux |
Le principe de Henneman permet de choisir automatiquement les synergies motrices en fonction de l’intensité de la commande descendante. | Faux |
Les grosses unités motrices sont les premières à être recrutées lors de la réalisation de mouvements explosifs. | Vrai |
Les fibres extrafusales de type I (lente) produisent une force maximale. | Faux |
Il est normal que la stimulation de la plante du pied entraine une réponse « en éventail » (extension) des orteils chez un bébé de 5 mois. | Vrai |
Suite à un accident vasculaire cérébral, il y a une augmentation de la représentation corticale des muscles atteints. | Faux |
L'augmentation du tonus suite à un AVC est principalement causée par une contraction simultanée des muscles agonistes et antagonistes | Faux |
La spasticité est caractérisée par une augmentation des réflexes tendineux. | Vrai |
Suite à un accident vasculaire cérébral, un des facteurs neuronaux contribuant à l’hyper-rigidité est l’hyperréflexie. | Faux |
La spasticité est causée par une hyperexcitabilité du réflexe tonique d’étirement. | Vrai |
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une flaccidité. | Vrai |
Le hoquet est un exemple de myoclonus. | Vrai |
Suite à un accident vasculaire cérébral, l’absence d’influence modératrice sur les motoneurones provoque une hyperréflexie (réflexe d’étirement phasique). | Faux |
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une atrophie musculaire. | Vrai |
Une rigidité de décérébration résulte en une posture en extension des membres supérieurs. | Vrai |
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, l’inhibition de la spasticité préalablement au mouvement améliore l’effet d’un entraînement moteur. | Faux |
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, un entraînement en renforcement augmente la force et la fonction motrice, sans effet néfaste sur la spasticité. | Vrai |
Une lésion du cervelet entraîne une diminution importante de la force musculaire | Faux |
Une lésion des voies motrices peut causer des contractions musculaires involontaires. | Vrai |
Une immobilisation par un plâtre entraine plus d’atrophie qu’une immobilisation causée par une paralysie car le plâtre limite plus la stimulation sensorielle du membre. | Faux |
Sur l’EMG, la présence d’unités motrices polyphasiques lors d’une contraction volontaire indique la présence de réinnervation. | Vrai |
Une lésion suffisamment haute des voies motrices n’a pas d’impact sur les réflexes produits au niveau de la moelle épinière. | Faux |
Le « forced-use » ou « constraint-induced movement therapy » est beaucoup utilisée chez l’enfant et les populations AVC | Vrai |
Une lésion au niveau du cortex moteur provoque principalement des symptômes contralatéraux à la lésion. | Vrai |
Une fasciculation est une saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la surface de la peau. | Vrai |
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une hyperréflexie. | Faux |
La spasticité est un désordre moteur. | Vrai |
Le spasme est une contraction involontaire plus ou moins sévère. | Vrai |
La spasticité est causée par une hypoexcitabilité du réflexe d’étirement dans le cadre d’un syndrome pyramidal. | Faux |
La faiblesse musculaire contribue davantage à la perte de fonction que la spasticité douze mois après un AVC. | Vrai |
Le clonus est une contraction musculaire involontaire, répétée et rythmique. | Vrai |
Une hyper-rigidité musculaire est une résistance excessive à l’étirement actif et passif du muscle. | Vrai |
Une rigidité de décortication signale une atteinte à un niveau supérieur au tronc cérébral. | Vrai |
L’atrophie neurogénique est la diminution de taille du cortex moteur suite à une lésion neurologique. | Faux |
Une lésion des noyaux gris centraux peut entraîner une difficulté à initier un mouvement. | Vrai |
Une fibrillation est une contraction invisible et involontaire d’une fibre musculaire. | Vrai |
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) entraîne : pertes des mouvements fractionnés. | Vrai |
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) entraîne : parésie. | Vrai |
Suite à un accident vasculaire cérébral, un clonus peut être déclenché lors d’une mise en charge pour un transfert. | Vrai |
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) chronique entraîne : hyporéflexie. | Faux |
Une lésion des voies motrices peut causer une paralysie. | Vrai |
Suite à un accident vasculaire cérébral, un clonus soutenu n’est pas nécessairement pathologique. | Faux |
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne des fibrillations. | Vrai |
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, la faiblesse a moins d’impact sur la fonction que les troubles du tonus. | Faux |
L’hypertonie spastique est constante peu importe la vitesse ou force appliquée. | Faux |
Une lésion médullaire au niveau de L1 entraîne, entre autres, une diminution de la force des extenseurs du coude. | Faux |
Le spasme est une saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la peau. | Faux |
La stimulation électrique d’un muscle peut être utilisée pour prévenir l’atrophie d’un muscle dénervé. | Vrai |
Suite à une lésion médullaire, un des facteurs myoplastiques contribuant à l’hyper-rigidité est l'augmentation de la sensibilité au réflexe d'étirement tonique. | Faux |
La stimulation électrique des muscles est parfois utilisée pour prévenir l’atrophie neurogénique. | Vrai |
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, la force musculaire ne peut pas être évaluée de façon reproductible. | Faux |
Une parésie est une perte complète de la contraction musculaire volontaire. | Faux |
La fasciculation est la contraction invisible et involontaire d’une fibre musculaire. | Faux |
Une lésion des voies motrices peut causer un tonus musculaire augmenté. | Vrai |
Le terme hémiparésie est utilisé afin de décrire une diminution de la force musculaire des deux membres inférieurs. | Faux |
Une réponse en coup de canif est une résistance active à l’étirement, avec aller-et-retour comme une lame de canif. | Faux |
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurones supérieurs) entraîne : hyperrigidité musculaire. | Vrai |
La spasticité est caractérisée par une augmentation vitesse-dépendante du réflexe tonique d'étirement. | Vrai |
Suite à un accident vasculaire cérébral, certains réflexes changent de direction. | Vrai |
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, l’inhibition de la spasticité préalablement au mouvement est important avant un entraînement moteur. | Faux |
Suite à une paralysie cérébrale, la cocontraction des muscles agonistes et antagonistes contribue à l'hypertonie. | Faux |
Suite à un AVC, un des facteurs myoplastiques contribuant à l’hyper-rigidité est la présence de contracture. | Vrai |
Suite à une lésion médullaire : l’absence d’influence modératrice sur les motoneurones provoque une hyperréflexie (réflexe d’étirement tonique). | Vrai |
Sur l’EMG, la présence de signes de contractions brèves de fibres musculaires lorsque la personne est au repos indique un début de réinnervation du muscle. | Faux |
Les fuseaux neuromusculaires sont à l’intérieur des fibres extra-fusales. | Faux |
Les nocicepteurs ne répondent pas aux stimulations mécaniques. | Faux |
Les fibres des colonnes dorsales présentent une organisation somatotopique jusqu’au cortex. | Vrai |
Les récepteurs sont dits toniques s’ils répondent à la tension. | Faux |
Les axones de type Ia et Ib véhiculent de l’information proprioceptive provenant des muscles et des tendons. | Vrai |
Les chémorécepteurs ne répondent pas aux infections | Faux |
L’information cutanée nociceptive est transmise plus rapidement par les afférences que l’information cutanée non-nociceptive, ce qui explique qu’un individu réagit rapidement à un stimulus douloureux. | Faux |
La stéréognosie implique les aires pariétales controlatérales. | Vrai |
Les récepteurs articulaires sont les principales sources d’information sur les angles articulaires. | Faux |
La coactivation alpha-gamma permet le maintien en tension du fuseau pendant la contraction musculaire. | Vrai |
La voie spino-thalamique implique des fibres C. | Faux |
La dégénérescence Wallérienne est une dégénérescence des axones. | Vrai |
La voie spino-limbique implique des petites fibres myélinisées. | Faux |
Les champs récepteurs sont plus grands en distal et sur le visage. | Faux |
Un récepteur dit tonique (ou à adaptation lente) décharge aussi longtemps que dure le stimulus. | Vrai |
Les voies spino-cérébelleuses sont à haute fidélité. | Vrai |
Le fuseau neuromusculaire inclut des fibres à sacs et à chaines nucléaires. | Vrai |
La conduction nerveuse permet de tester l’intégrité des voies somatosensorielles. | Faux |
La dégénérescence Wallérienne est une dégénérescence des dendrites. | Faux |
Les fibres II innervent les fibres à chaîne nucléaire. | Vrai |
Les champs récepteurs varient en fonction de l’amplitude de stimulation. | Vrai |
La dégénérescence Wallérienne est une dégénérescence des corps cellulaires. | Faux |
La voie spinothalamique est inconsciente. | Faux |
Une lésion des colonnes dorsales à gauche entraine une perte de proprioception à gauche | Vrai |
L’absence de nociception menace la vie. | Faux |
Les axones de type A_delta et C véhiculent de l’information thermique et nociceptive. | Vrai |
Les fibres Ia innervent les motoneurones gamma. | Faux |
Les récepteurs au chaud ne répondent pas au froid. | Vrai |
La dégénérescence Wallérienne est une dégénérescence des synapses. | Faux |
La voie spino-mésencéphalique est impliquée dans le cycle éveil/sommeil. | Faux |
La discrimination de 2 points permet de tester le phénomène d’extinction. | Vrai |
Un dermatome est la surface cutanée innervée par les fibres sensitives d’un seul nerf rachidien. | Vrai |
Les mécanorécepteurs ne répondent pas aux étirements. | Faux |
Les voies divergentes projettent notamment au cortex cérébral. | Vrai |
Les récepteurs à la chaleur évitent les brûlures. | Faux |
Les propriocepteurs sont innervés par des petites fibres. | Faux |
Un client avec un syndrome du tunnel carpien décrit des sensations des fourmillements et de picotements au niveau des doigts. Cette description correspond à de l'hyperalgésie. | Faux |
La douleur est synonyme de nociception. | Faux |
Les centres supérieurs peuvent moduler la transmission de l’input nociceptif. | Vrai |
Une allodynie est due à une augmentation de l’excitabilité nociceptive du SNC. | Vrai |
Dans le phénomène de sensibilisation périphérique, la diminution du seuil du nocicepteur entraîne l’hyperalgésie. | Vrai |
La matrice de la douleur au niveau cérébral peut s’activer en l’absence de stimulus nociceptif, mais ce uniquement chez les patients avec une problématique de douleur chronique. | Faux |
Un membre fantôme peut être bougé volontairement. | Vrai |
La douleur projetée est due à une convergence des afférences nociceptives et cutanées sur les mêmes neurones. | Vrai |
L’allothymie est une sensation de douleur pour un stimulus non-douloureux. | Faux |
L’augmentation de la perception douloureuse lors de stimulations douloureuses répétées (phénomène de wind-up) est un signe clinique de sensibilisation périphérique. | Faux |
La douleur chronique est un problème très répandu, touchant environ 5-7% de la population adulte au Québec. | Faux |
Environ 50% à 80% des membres fantômes sont douloureux. | Vrai |
On évalue perception douleur d’un individu bonne santé au niveau de main pour stimulus donné 2 reprises, soit avant/après immersion de son pied pendant 2 minutes dans bain eau glacée. Quel résultat? perception douleur = diminuée après immersion. | Vrai |
La transmission d’un potentiel d’action d’un axone (non nociceptif) à un autre (nociceptif) suite à une démyélinisation peut contribuer à la douleur neuropathique. On nomme ce mécanisme transmission ephatique. | Vrai |
Une transmission éphatique implique une perte de myéline. | Vrai |
évalue perception douleur quelqu'un en santé au niveau main stimulus donné deux reprises, avant/après immersion pied pendant 2 minutes bain glacé. Quel résultat? changements dans perception douleur = impossibles prédire : réponse à douleur = personnel. | Faux |
Des sensations électriques de fourmillement et/ou de brûlure intense signalent souvent une douleur de type neuropathique. | Vrai |
On évalue perception douleur d’un individu en santé au niveau main pour stimulus donné deux reprises, avant/après immersion de son pied pendant 2 minutes dans bain glacé. Quel résultat? La perception de la douleur ne change pas suite à l’immersion. | Faux |
Un client avec un syndrome du tunnel carpien décrit des sensations des fourmillements et de picotements au niveau des doigts. Cette description correspond à de la synesthésie. | Faux |
Le terme « sensation référée » décrit la perception que peut avoir une personne amputée d’une main lorsqu’on touche son membre manquant alors qu’on touche en réalité son moignon ou son visage. | Vrai |
Un effet pro-nociceptif décrit une augmentation de la transmission de l’input nociceptif. | Vrai |
Environ 17% des personnes amputées ont des sensations de membre fantôme. | Faux |
La matrice de la douleur ce sont les structures cérébrales qui traitent et régulent l’information nociceptive. | Vrai |
La paresthésie est un fourmillement/picotement. | Vrai |
La potentialisation à long terme est un mécanisme sous-jacent au phénomène de sensibilisation centrale. | Vrai |
on évalue perception douleur d’un individu en santé au niveau main pour stimulus donné à deux reprises, avant/après immersion de son pied pendant 2 minutes dans bain glacé. Quel résultat? La perception de la douleur est augmentée suite à l’immersion. | Faux |
La substance grise péri-aqueducale est impliquée dans les mécanismes descendants de contrôle de la douleur. | Vrai |
Selon la théorie du portillon, il est possible de réduire la douleur aigue en activant les mécanorécepteurs de bas seuil. | Vrai |
Les dysesthésies sont des sensations anormales désagréables. | Vrai |
douleur fantôme chez certaines personnes amputées s’explique par absence réorganisation corticale après amputation. Lorsque cortex se réorganise pour permettre utilisation de région correspondant au membre amputé, il n’y a pas de douleur qui s’installe. | Faux |
Des sensations référées au membre fantôme peuvent être évoquées par le toucher d’autres parties du corps. | Vrai |
La sensibilisation périphérique résulte de l’interaction entre les substances inflammatoires relâchées au site de la lésion et les nocicepteurs. | Vrai |
Un client avec un syndrome du tunnel carpien décrit des sensations des fourmillements et de picotements au niveau des doigts. Cette description correspond à de l'allodynie. | Faux |
La douleur projetée peut survenir lorsque les afférences nociceptives viscérales et cutanées convergent sur le même neurone de 2e ordre. | Vrai |
Le syndrome de douleur régionale complexe survient généralement suite à un trauma, parfois mineur, la douleur étant disproportionnée en intensité et en durée par rapport à l’atteinte initiale (i.e. persiste même si la lésion a bien guéri). | Vrai |
L’application de crème de capsaicine sur la peau est une méthode permettant d’induire en laboratoire une sensibilisation périphérique. | Vrai |
Un client avec un syndrome du tunnel carpien décrit des sensations des fourmillements et de picotements au niveau des doigts. Cette description correspond à de la paresthésie. | Vrai |
Des atteintes du schéma corporel sont parfois présente chez les patients présentant des douleurs chroniques. | Vrai |
Un foyer ectopique est un site démyélinisé sur un axone où on retrouve la formation anormale de canaux ioniques pouvant résulter en une production de potentiels d’action pathologiques en réponse à un stimulus au niveau de l’axone. | Vrai |
La majorité des personnes souffrant de lombalgie présentent des anomalies au niveau lombaire. | Faux |