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Exam 2 de Neuro 2
Bah c'est l'exam 2 de neuro 2
Question | Answer |
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Le calcul de la Pression de Perfusion Cérébrale est importante dans le traitement de l’hypertension intracrânienne | Vrai |
L’hématome épidural n’est jamais dangereux | Faux, souvent dangeureux |
La majorité des TCC sont sévères | Faux, pas sévères |
L’hématome sous-dural est situé entre la dure-mère et l’os du crâne. | Faux, entre dure-mère et cerveau |
L’hématome sous-dural est une pathologie fréquente chez les gens âgés, dû à l’atrophie cérébrale. | Vrai |
L’hématome sous-dural est plus fréquent chez le jeune adulte dans la vingtaine. | Faux, chez personnes âgées |
Aucune recommandation spéciale n’existe dans la littérature médicale sur le retour aux activités sportives après une commotion cérébrale | Faux, retour progressif |
L’évaluation neurologique précise est importante pour le suivi | Vrai |
Les hématomes épiduraux sont généralement associés à des fractures du crâne. | Vrai |
Les hématomes épiduraux sont situés entre la dure-mère et le cerveau | Faux, entre dure-mère et os |
Le Syndrome de l’enfant secoué n’a jamais de conséquence | Faux, full conséquences |
Les hématomes épiduraux ont toujours un bon pronostic. | Faux, rarement |
L’engagement de l’uncus du lobe temporal provoque une dilatation pupillaire | Vrai |
La dilatation pupillaire est un signe d’urgence à agir | Vrai |
L’engagement du lobe temporal n’a aucune conséquence | Faux, full conséquences |
Il n’y a aucun danger à renvoyer sur le terrain un excellent quart-arrière au cours d'une même partie après qu'il ait subi une commotion cérébrale. | Faux, full danger |
Il y a des effets cumulatifs des commotions cérébrales | Vrai |
Opérer un volumineux hématome épidural n’est pas urgent. | Faux, urgent à fond |
La commotion cérébrale peut être définie comme étant toute altération de l’état de conscience. | Vrai |
Les hommes sont plus souvent touchées que les femmes par des TCC dans des accident de la route ou accident de travail | Vrai |
Le retour aux activités sportives après une commotion cérébrale nécessite l’absence de symptômes résiduels avec un retour progressif aux activités sous supervision | Vrai |
Il faut absolument perdre connaissance pour porter un diagnostic de commotion cérébrale. | Faux, pas toujours |
L’hématome épidural est une hémorragie dans le cerveau | Faux, artère temporale pas dans le cerveau |
La justice n’intervient jamais dans les cas d’enfant secoué | Faux, elle intervient... |
L’évaluation de l’état neurologique se fait par l’échelle de Glasgow. | Vrai |
Il existe des traitements pour prévenir les lésions secondaires au TCC. | Vrai |
L’hématome sous-dural n’est jamais dangereux | Faux, souvent dangereux |
L’évaluation neurologique se fait par des termes subjectifs seulement | Faux, divers tests/mesures... |
Le monitoring de la pression intracrânienne fait partie du traitement du TCC sévère aux soins intensifs. | Vrai |
Le monitoring de la pression intracrânienne nécessite une chirurgie majeure. | Faux, c'est un bébé trou |
Une seconde commotion cérébrale immédiatement après une première est sans danger | Faux, full danger |
L’engagement du lobe temporal n’atteint pas le tronc cérébral | Faux, atteinte du tronc |
Les accidents de la route sont la cause majeure de TCC sévères et de mortalité chez les moins de 45 ans. | Vrai |
Une fracture de l’écaille temporale est à l’origine classique de l’hématome épidural par déchirure de l’artère méningée moyenne | Vrai |
Le Syndrome de l’enfant secoué n’entraîne jamais d’hémorragie intracrânienne. | Faux, ça en entraîne |
Le « Syndrome de l’enfant secoué » peut se présenter avec des hématomes sous-duraux et d’autres signes classiques | Vrai |
Les conséquences des TCC sévères n’ont pas d’impact sur la vie personnelle, familiale et la société | Faux, ça a full impacts |
Les hématomes épiduraux de bon volume doivent être opérés rapidement en urgence | Vrai |
Un joueur de hockey qui a toujours ces céphalées post-commotion cérébrale peut retourner au sport contact. | Faux, pas tant qu'il y a des symptômes |
Découverte de neurones miroirs chez macaque a eu répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. Cette découverte fourni mécanisme explicatif aux théories motrices de la parole qui postulaient lien entre perception et production parole | Vrai |
Le contrôle moteur de la parole comprend trois étapes : Respiration, Phonation et Articulation | Faux, résonance aussi |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par :Sa modularité et son isolement des autres fonctions cognitives et sensorimotrices | Faux |
.Un son complètement différent, imprévisible, sera perçu reflétant la confusion du système nerveux face à cette information sensorielle conflictuelle | Faux |
Les messages transmis par la voix sont perçus et traités par le système nerveux central. La perception de la parole est discrète alors que la parole est un flot continu | Vrai |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par :La participation des boucles de contrôle motrices impliquant les noyaux gris centraux, le cervelet, le thalamus et le cortex dans le contrôle de la production du langage | Vrai |
Le contrôle moteur de la parole comprend trois étapes : Phonation, Articulation, Résonance. | Faux, il y a aussi respiration |
Ainsi nommée d’après chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. Des études récentes montrent que les troubles moteurs de l’articulation (apraxie) sont liés à des lésions de l’aire de Broca. | Faux, aphasie |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche. Certaines fonctions langagières (p.ex. la pragmatique) sont principalement localisées dans l’hémisphère droit | Vrai |
.La découverte de neurones miroirs chez le macaque a eu des répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. L’information articulatoire peut être utilisée pour reconnaître des sons ambigus | Vrai |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Les patients décrits par Paul Broca au 19e siècle avaient des lésions à l’aire de Broca qui s’étendaient jusqu’au cortex insulaire. | Vrai |
La parole est généralement produite durant la phase inspiratoire du cycle respiratoire. | Faux, expiratoire |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche.Certaines fonctions langagières, tels que les fonctions sensorimotrices, sont localisées dans les deux hémisphères (représentation bilatérale). | Vrai |
La découverte de neurones miroirs chez le macaque a eu des répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. Cela a confirmé que le cerveau du macaque n’est pas un modèle adéquat pour l’étude du langage. | Faux, il est adéquat |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par : L’utilisation de mécanismes cognitifs, perceptuels et sensorimoteurs généraux. | Vrai |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Le contrôle moteur de la parole repose sur l’utilisation des rétroactions somatosensorielles, auditives et proprioceptives. | Vrai |
Le contrôle moteur de la parole comprend deux étapes : Phonation et Articulation. | Faux y'en a 4 batarnak |
La découverte de neurones miroirs chez le macaque a eu des répercussions importantes pour l’étude de la parole et du langage. On a découvert que certaines aires prémotrices sont impliquées durant la perception et la production de la parole. | Vrai |
Le signal audio sera ignoré, et un /ga/ sera perçu démontrant la prépondérance de l’information visuelle dans la perception de la parole | Faux, /da/ |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche. Les troubles du langage et de la parole sont plus souvent associés à des lésions dans l’hémisphère gauche que dans l’hémisphère droit. | Vrai |
Le langage est souvent associé à l’hémisphère gauche. Toutes les fonctions langagières sont localisées dans les deux hémisphères, ce qui permet plus de résistance aux dommages cérébraux causés notamment par les AVC. | Faux, pas toutes |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Le contrôle moteur de la parole peut-être représenté adéquatement au moyen d’un système de contrôle de type balistique. | Faux, Isa est certaine que c'est pas balistique |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Le cortex insulaire contribue, avec plusieurs autres aires comme le cortex prémoteur, moteur primaire, supplémentaire, à l’articulation de la parole. | Vrai |
Messages transmis par voix sont perçus et traités par système nerveux central. La perception de parole repose sur capacité de reconnaître sons chez différents locuteurs malgré des variations acoustiques importante (p.e. son /a/ est jamais produit mm façon | Vrai |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Les troubles de l’articulation comme l’aphasie de Wernicke impliquent souvent une lésion du cortex insulaire. | Faux, pas souvent |
.Ainsi nommée d’après le chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. L’aire de Broca est composée de trois parties : operculaire, triangulaire et orbitale | Faux, par orbitale, prémoteur ventral |
Ainsi nommée d’après le chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. L’aire de Broca est une aire fonctionnellement hétérogène | Vrai |
Le contrôle du langage par le cerveau est caractérisé par :L’utilisation d’un réseau cortical et sous-cortical largement distribué à travers le cerveau | Vrai |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Les signaux de rétroaction les plus importants pour le contrôle de la parole sont les rétroactions somatosensorielles | Faux, auditifs |
Un son mitoyen (/da/) sera perçu reflétant l’intégration des signaux audio et visuels. | Vrai |
Les inspirations sont plus courtes lors de la production de la parole | Faux, pas plus courtes |
Ainsi nommée d’après le chirurgien Paul Broca, l’aire de Broca est une aire importante pour le contrôle des fonctions langagières. L’aire de Broca est une aire motrice agranulaire | Faux, 3 sections, et une seule agranulaire |
La parole est généralement produite durant la phase expiratoire du cycle respiratoire | Vrai |
Les messages transmis par la voix sont perçus et traités par le système nerveux central. La perception de la parole repose sur les capacités d’attention soutenue et divisée. | Vrai |
Le cycle respiratoire n’est pas modifié de manière importante durant la production de la parole. | Faux, full modifié |
Le contrôle moteur de la parole comprend quatre étapes : Respiration, Phonation, Articulation et Résonance. | Vrai |
Les messages transmis par la voix sont perçus et traités par le système nerveux central. La syllabe est le plus petit élément porteur de sens qui est traité par le système linguistique | Faux, phonème |
Le signal visuel sera ignoré, et un /ba/ sera perçu, démontrant la prépondérance de l’information audio dans la perception de la parole. | Faux, pas un /ba/ |
Le cortex insulaire est une aire importante pour le langage. Le cortex insulaire est impliqué dans le contrôle moteur de la parole | Vrai |
Lorsque l’on parle, de nombreux signaux de rétroaction sont produits : somatosensoriels, proprioceptifs, auditifs et visuels. Seulement les signaux de rétroaction auditifs sont utilisés pour contrôler la parole | Faux, auditif et visuel |
L’attention est ce qui permet de mener l’information de la mémoire sensorielle à la mémoire de travail | Vrai |
L’amygdale est responsable de la mémorisation. | Faux, c'est l'hypocampe |
Plusieurs régions cérébrales sont impliquées à la fois dans la mémoire, les émotions, et la prise de décision | Vrai |
Suite à une lésion de l’hippocampe, la capacité de mémorisation est atteinte | Vrai |
Il est plus facile de mémoriser une information seule qu’une combinaison d’information | Vrai |
La mémoire à court terme à un rôle spécifique pour les informations nouvelles | Faux, pas spécifique |
L’humeur est une expérience émotionnelle de courte durée | Faux, c'est maintenu |
La mémoire sensorielle est améliorée par la répétition et les émotions | Faux, avant boucle de répétition |
La dépression est associée à une augmentation du débit sanguin dans l’amygdale | Vrai |
Mémoire à court terme et mémoire de travail sont synonymes. | Vrai |
L’aire septale libère des hormones dans le sang. | Faux, c'est l'hypothalamus |
L’irritabilité peut être un indice d’un début de démence | Vrai |
Pour améliorer sa mémoire à long terme, le plus important est d’améliorer ses stratégies de mémorisation | Vrai |
La mémoire émotionnelle est mature avant la mémoire auto-biographique | Vrai |
Il est possible de tester la mémoire d’une personne agée en l’interrogeant sur des événements de sa jeunesse | Faux, mémoire à long terme est la dernière oubliée |
Le noyau accumbens produit de l’Acétylcholine qui est ensuite redistribué dans le cerveau. | Faux, produite par Meynert |
Le cortex orbitofrontal est impliqué dans la valence émotionnelle du regret | Vrai |
La mémorisation est un processus actif de consolidation des souvenirs les rendant moins vulnérables à l’oubli. | Vrai |
Les experts aux échecs ont une capacité de mémoire supérieure aux novices | Faux, pas rapport |
Le sommeil et en particulier sa phase paradoxale (REM) permet d’améliorer la mémoire à court terme | Faux, améliore mémoire à long terme |
Le sommeil favorise la consolidation et rend la mémoire moins susceptible aux interférences. | Vrai |
Le système limbique participe à la régulation des fonctions viscérales | Vrai |
La partie antérieure du système limbique est plus particulièrement impliquée dans la mémoire. | Faux, postérieur |
Il est normal que la mémoire diminue avec l’âge | Faux, vieillissement secondaire |
L’oubli est une capacité en soi | Vrai |
Le dictionnaire est une bonne analogie du stockage des informations en mémoire à long terme. | Faux, ça marche pas de même |
Le noyau basal de Meynert est impliqué dans le niveau d’éveil | Vrai |
La capacité à oublier est une capacité essentielle | Vrai |
Selon la théorie des marqueurs somatiques (Damasio), les décisions sont séparées du traitement des émotions | Faux, c'est pas ça |
La mémoire procédurale est une forme de mémoire sensorielle | Faux, mémoire inconsciente |
Une amnésie antérograde affecte la mémoire à long terme | Faux, court terme |
La mémoire de travail doit être distinguée de la mémoire à court terme | Faux, même chose |
L’association d’idée contribue à améliorer les phases d’encodage et de restitution | Vrai |
Le MMSE et le Pecpa-2r sont des tests sensibles à des pertes de la mémoire à court terme. | Vrai |
mémoire sémantique permet de retenir environ 5 à 9 éléments | Faux, mémoire à court terme |
La mémoire procédurale nous permet d’expliquer les comportements à avoir pour par exemple faire du vélo | Faux, explique qu'on fait du vélo sans y penser |
Une amnésie rétrograde affecte indistinctement les mémoires anciennes et proches | Faux, on oubli des éléments de notre vie survenus avant la lésion |
La capitale de l’Australie, c’est une information de votre mémoire sémantique | Vrai |
L’éveil physiologique (réponse motrices viscérales et somatiques) est lié à la mémoire sémantique | Faux, liés aux émotions |
Une hémiplégie affectant le membre inférieur signe une atteinte de l’artère cérébrale postérieure. | Faux, artère cérébrale antérieure |
L’anosognosie survient habituellement suite à une atteinte frontale | Faux, atteinte dorsale |
L’artère cérébrale antérieure est le plus souvent touchée de façon isolée | Faux, atteinte isolée, rare |
L’œdème cérébral se résorbe au cours de la deuxième semaine post-AVC | Vrai |
Un AVC subarachnoïde est nécessairement hémoragique | Faux, pas nécessairement |
L’anosognosie est une incapacité à reconnaitre comme sien une partie de son corps | Faux, hémiasomatognosie |
Un AVC embolique est une forme d’AVC ischémique | Vrai |
La plupart des AVC sont ischémiques | Vrai |
Une atteinte de l’artère sylvienne affecte les lobes temporaux, frontaux et pariétaux | Vrai |
Le polygone de Willis est un système d’anastomose convoyant le sang du cerveau vers le cœur. | Faux, c'est le contraire |
L’œdème cérébral est maximal au 4e jour post-AVC | Vrai |
Une ICT n’entraîne pas de perte de fonction durable | Vrai |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des intensités lumineuses | Vrai |
Une asomatognosie peut survenir suite à une lésion pariétale gauche | Faux, atteinte hémisphère droit |
La prosopagnosie est l’agnosie des visages | Vrai |
Un AVC est une perte progressive de la fonction cérébrale | Faux, spontannée |
Un AVC durant moins de 24h est appelé AVC transitoire | Faux, appelé ICT |
L’asomatognosie survient généralement suite à une lésion préfrontale droite | Faux, gauche |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des objets | Vrai |
La pénombre est la zone morte au pourtour de la lésion | Faux, pénombre = toujours viable |
Une atteinte de l’artère cérébrale antérieure superficielle entraîne une prosopagnosie | Faux, postérieure superficielle |
Une atteinte de l’artère cérébrale postérieure superficielle entraîne un état confusionnel | Vrai |
L’asomatognosie survient habituellement comme une composante du syndrome d’Anton-Babinski | Vrai |
Un AVC ischémique est caractérisé par une rupture d’un vaisseau sanguin à l’intérieur du cerveau | Faux, dû à l’interruption de la circulation sanguine par un caillot |
Une atteinte de l’artère cérébrale postérieure superficielle entraîne une hémianopsie latérale homonyme | Vrai |
L’athérosclérose est un durcissement des artères augmentant leur diamètre | Faux, diminuant le diamètre |
L’asomatognosie est une incapacité à reconnaitre un déficit majeur (ex. : cécité, hémiplégie) | Faux, c'est l'anosognosie |
Suite à un AVC une personne peut présenter une agnosie des couleurs | Faux, anomie, pas agnosie |
La résorption de l’œdème cérébral est responsable d’une certaine récupération | Vrai |
Les AVC lacunaires produisent des lésions très spécifiques | Vrai |
Une atteinte de la « fusiform face area » est une atteinte pariétale | Faux, temporale |
La perception est une construction du cerveau | Vrai |
L’astéréognosie fait suite à une lésion occipito-temporale | Faux, pariétal |
L’anosognosie survient habituellement suite à une atteinte frontale | Faux, pariétal |
La voie ventrale permet la perception consciente, la reconnaissance et l’identification des objets | Vrai |
Une asomatognosie peut survenir suite à une lésion pariétale gauche | Vrai |
Une asomatognosie peut survenir suite à une lésion préfrontale gauche | Vrai |
L’extinction est la diminution de l’intensité lumineuse perçue par une personne héminégligente | Faux, c'est pas ça |
Une ataxie optique signale une lésion de la voie ventrale | Faux, dorsale |
La négligence spatiale unilatérale est très rare suite à un AVC (moins de 10 %). | Faux, 80% |
Une atteinte de la « fusiform face area » est une atteinte occipitale | Vrai |
L’agnosie musicale est le plus souvent liée à une lésion de l’hémisphère droit | Vrai |
L’apraxie idéomotrice affecte la réalisation des gestes | Vrai |
Un client split-brain honnête ne confabule pas | Faux, c'est la caractéristique principale |
L’asomatognosie est une incapacité à reconnaitre un déficit majeur (ex. : cécité, hémiplégie). | Faux, refus de reconnaitre comme le sien une partie du corps |
Le champ visuel d’une personne héminégligente est intact | Vrai |
Une agnosie résulte d’une lésion d’une aire sensorielle primaire | Faux, lésion d'une aire sensorielle associative |
Une agnosie auditive résulte le plus souvent d’une atteinte temporale | Vrai |
La prosopagnosie est l’agnosie des visages | Vrai |
L’anosognosie est une incapacité à reconnaitre comme sien une partie de son corps | Faux, incapacité à reconnaître un déficit majeur |
L’anosognosie est une forme de déni dans laquelle le patient méconnaîtra les conséquences, par exemple, de son hémiplégie | Faux, différent du déni |
L’asomatognosie se caractérise par le refus de considérer une partie de son propre corps comme étant sien. | Vrai |
Chez un client split-brain l’hémisphère D ne « sait pas parler » mais le sujet peut identifier un objet avec sa main gauche | Vrai |
L’agnosie visuelle c’est la difficulté à identifier ce que l’on voit. | Vrai |
Une atteinte de la « fusiform face area » affecte la perception du visage. | Vrai |
Une atteinte de la « fusiform face area » entraine une prosopagnosie | Vrai |
Une atteinte occipito-temporale entraine une agnosie visuelle | Vrai |
L’apraxie est un déficit sensorimoteur primaire | Faux, secondaire |
L’asomatognosie survient généralement suite à une lésion préfrontale droite. | Faux, lésion préfrontale gauche |
Une dysphasie est un trouble de développement | Vrai |
Le pronostic de réadaptation est défavorable en cas d’anosognosie, en particulier du fait de la difficulté à établir une alliance thérapeute-client | Vrai |
Un client tentant de gratter une bougie sur une boite d’allumettes présente une apraxie idéatoire | Vrai |
Toute perception est une gnosie | Vrai |
Une agnosie est souvent la conséquence d’une atteinte d’une aire sensorielle primaire | Faux, aire sensorielle associative |
Un client qui gratte une bougie sur une boite d’allumettes présente une apraxie idéatoire | Vrai |
. La voie dorsale assure le contrôle visuo-moteur sur les objets en traitant leurs propriétés extrinsèques, celles qui sont critiques pour leur saisie | Vrai |
L’attention spatiale implique les lobes droit et gauche | Vrai |
L’attention spatiale implique uniquement le lobe pariétal droit | Faux, pas uniquement |
Une dyscalculie est une forme atténuée d’acalculie | Faux, aucune rapport |
L’imagerie motrice est atteinte dans l’apraxie idéomotrice | Faux... pourquoi ce serait atteint |
Les agnosies auditives sont associées au cortex pariétal | Faux, temporal |
idéatoire est la difficulté de concrétiser des gestes pourtant correctement conçus. | Faux, difficulté à avoir des idées |
Une lésion pariétale entraîne une ataxie optique | Vrai |
L’apraxie idéatoire se caractérise par une dissociation entre gestes automatiques et gestes volontaires. | Faux, apraxie idéomotrice |
ataxie optique implique une difficulté à stabiliser sa vision | Faux, ataxie = pas stabilité |
L’asomatognosie survient habituellement comme une composante du syndrome d’Anton-Babinski. | Vrai |
L’extinction est le phénomène par lequel un stimulus qui serait perçu seul n’est pas perçu lorsqu’il est présenté en même temps qu’un stimulus contralatéral | Vrai |
La voie ventrale permet le contrôle visuo-moteur. | Faux, voie dorsale |
L’astéréognosie affecte la capacité à reconnaitre des objets qui ne s’explique pas par un déficit moteur ou tactile primaire | Vrai |
Une astéréognosie résulte le plus souvent d’une atteinte pariétale | Vrai |
L’héminégligence revêt un caractère multimodal | Vrai |
Le cortex pariétal est responsable de l’intégration sensorielle | Vrai |
Une atteinte pariétale entraine généralement une agnosie visuelle | Faux, atteinte ventrale |
Une asomatognosie temporaire peut survenir suite à une crise épileptique | Vrai |
L’apraxie idéatoire affecte la représentation des gestes | Vrai |
Une alexie fait suite à une lésion cérébrale | Vrai |
La négligence spatiale unilatérale est très fréquente suite à un AVC. | Vrai (80%) |